La crise sanitaire, montage opérationnel ou opportunité, a fait avancer l'agenda mondialiste, mais elle a permis à de puissants acteurs de se dévoiler. Pierre Hillard, spécialiste du mondialisme nous fait partager ses idées dans la période actuelle sur TVLiberté <vers une humanité esclave et traquée> (https://youtu.be/oxsZSuyodAM ). Essayiste de droite (catho tradi, royaliste ... ) sur une chaîne de droite s'exclameront certains ! Certes, mais je crains qu'on ne puisse trouver d'autres points de vue radicaux et incisifs sur la question dans le reste du champ politique qui est assez mou (RN compris) - parce que corrompu -.
Hillard explique que la seule force qui s'est opposée au mondialisme depuis ses origines (XVI-XVIIème siècle) a toujours été l’Église catholique.
Depuis Vatican 2, la 'révolution de 1789 dans l’Église' martèle Hillard, cet opposant déterminé au mondialisme franc-maçon est tombé. Emblématique sur la question, la lettre du pape François à deux officines mondialiste représentatives, le FMI et la banque mondiale, expose le plein soutien de la hiérarchie à ces institutions.Le FMI et la banque Mondiale - qui ont détruit des pays entiers, ne l'oublions pas - ne peuvent être des éléments de la solution au problème global puis qu'elles font parties de ce problème. Nous voilà donc partie dans un bavardage généraliste tournant autour de solutions "inclusives et durables" en général, et du soutien à la politique vaccinale planétaire en particulier comme le veulent Bill Gates et Big Pharma. C'est affligeant.
Le document. Source. (Italien, anglais)
Lettre du Saint-Père François à l'occasion de la réunion de printemps 2021 de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (5-11 avril 2021), 08.04.2021
Nous publions ci-dessous la Lettre que le Saint-Père François a envoyée aux participants à la Réunion de printemps 2021 de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, qui se déroule en ligne du 5 au 11 avril 2021 :
Message du Saint-Père
Au Groupe de la Banque mondiale et au Fonds monétaire international
Je suis reconnaissant de l'aimable invitation à m'adresser aux participants aux réunions de printemps 2021 du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international au moyen de cette lettre, que j'ai confiée au cardinal Peter Turkson, préfet du Dicastère du Saint-Siège pour la promotion du développement humain intégral.
Au cours de la dernière année, en raison de la pandémie de Covid-19, notre monde a été contraint de faire face à une série de crises socio-économiques, écologiques et politiques graves et interdépendantes. J'espère que vos discussions contribueront à un modèle de « reprise » capable de générer de nouvelles solutions plus inclusives et durables pour soutenir l'économie réelle, en aidant les individus et les communautés à réaliser leurs aspirations les plus profondes et le bien commun universel. La notion de reprise ne peut se contenter d'un retour à un modèle de vie économique et sociale inégal et insoutenable, où une infime minorité de la population mondiale possède la moitié de ses richesses.
Malgré toutes nos convictions profondes que tous les hommes et toutes les femmes sont créés égaux, beaucoup de nos frères et sœurs dans la famille humaine, en particulier ceux qui sont en marge de la société, sont effectivement exclus du monde financier. La pandémie nous a cependant rappelé une fois de plus que personne n'est sauvé seul. Si nous voulons sortir de cette situation comme un monde meilleur, plus humain et solidaire, il faut imaginer des formes nouvelles et créatives de participation sociale, politique et économique, sensibles à la voix des pauvres et engagées à les inclure dans la construction de notre avenir commun (cf. Fratelli Tutti, 169). En tant qu'experts en finance et en économie, vous savez bien que la confiance, née de l'interdépendance entre les personnes, est la pierre angulaire de toutes les relations, y compris les relations financières. Ces relations ne peuvent se construire qu'à travers le développement d'une « culture de la rencontre » dans laquelle chaque voix peut être entendue et tous peuvent s'épanouir, trouver des points de contact, construire des ponts et envisager des projets inclusifs à long terme (cf. ibid., 216).
Alors que de nombreux pays consolident maintenant des plans de relance individuels, il reste un besoin urgent d'un plan mondial qui puisse créer de nouvelles institutions ou régénérer les institutions existantes, en particulier celles de la gouvernance mondiale, et aider à construire un nouveau réseau de relations internationales pour faire avancer le développement humain intégral. de tous les peuples. Cela signifie nécessairement donner aux nations les plus pauvres et les moins développées une part effective dans la prise de décision et faciliter l'accès au marché international. Un esprit de solidarité mondiale exige également au moins une réduction significative du fardeau de la dette des nations les plus pauvres, qui a été exacerbé par la pandémie. Alléger le fardeau de la dette de tant de pays et de communautés aujourd'hui, est un geste profondément humain qui peut aider les gens à se développer, à avoir accès aux vaccins, à la santé, à l'éducation et à l'emploi.
Nous ne pouvons pas non plus négliger un autre type de dette : la « dette écologique » qui existe notamment entre le nord et le sud de la planète. Nous sommes, en fait, endettés envers la nature elle-même, ainsi que les personnes et les pays touchés par la dégradation écologique et la perte de biodiversité induites par l'homme. A cet égard, je crois que l'industrie financière, qui se distingue par sa grande créativité, saura développer des mécanismes agiles de calcul de cette dette écologique, afin que les pays développés puissent la payer, non seulement en limitant significativement leur consommation de non- renouvelables ou en aidant les pays les plus pauvres à adopter des politiques et programmes de développement durable, mais aussi en couvrant les coûts de l'innovation nécessaire à cet effet (cf. Laudato Si', 51-52).
Au centre d'un développement juste et intégré se trouve une profonde appréciation de l'objectif essentiel et de la fin de toute vie économique, à savoir le bien commun universel. Il s'ensuit que l'argent public ne peut jamais être disjoint du bien public, et les marchés financiers devraient être soutenus par des lois et des règlements visant à garantir qu'ils travaillent vraiment pour le bien commun. S'engager dans la solidarité économique, financière et sociale, c'est donc bien plus que s'engager dans des actes de générosité sporadiques. « Cela signifie penser et agir en termes de communauté. Cela signifie que la vie de tous est antérieure à l'appropriation des biens par quelques-uns. C'est aussi combattre les causes structurelles de la pauvreté, des inégalités, du manque de travail, de terre et de logement, le déni des droits sociaux et du travail… La solidarité, entendue dans son sens le plus profond, est une manière de faire l'histoire » (Fratelli Tutti, 116 ).
Il est temps de reconnaître que les marchés, notamment financiers, ne se gouvernent pas eux-mêmes. Les marchés doivent être soutenus par des lois et des réglementations qui garantissent qu'ils fonctionnent pour le bien commun, garantissant que la finance - plutôt que d'être simplement spéculative ou se financer elle-même - fonctionne pour les objectifs sociétaux si nécessaires dans le contexte de l'urgence mondiale actuelle en matière de soins de santé. A cet égard, nous avons surtout besoin d'une solidarité vaccinale justement financée, car nous ne pouvons laisser la loi du marché prendre le pas sur la loi de l'amour et de la santé de tous. Ici, je réitère mon appel aux chefs de gouvernement, aux entreprises et aux organisations internationales à travailler ensemble pour fournir des vaccins pour tous, en particulier pour les plus vulnérables et les plus nécessiteux (cf. Message Urbi et Orbi, jour de Noël 2020).
J'espère qu'en ces jours vos délibérations formelles et vos rencontres personnelles porteront beaucoup de fruits pour le discernement de solutions sages pour un avenir plus inclusif et durable. Un avenir où la finance est au service du bien commun, où les personnes vulnérables et marginalisées sont placées au centre, et où la terre, notre maison commune, est bien entretenue.
En offrant mes meilleurs vœux de prière pour la fécondité des réunions, j'invoque sur tous les participants les bénédictions de Dieu de sagesse et de compréhension, de bons conseils, de force et de paix.
Du Vatican, le 4 avril 2021
Les mondialistes se foutent des bons sentiments. La finance au service du bien commun ... Sans blagues, vous y croyez ? Quand je vois les mots "inclusifs" et "durable" dans un texte, en général je le mets à la poubelle.
Après avoir préparé la crise Covid avec la simulation EVENT 201 de l'automne 2019, les oligarques du WEF nous préparent à la grande cyber attaque du monde civilisé grâce à l'exercice CYBER POLYGONE qui va se dérouler en juillet (l'exercice, pour l'attaque, on ne sait pas). Il s'agit bien dans l'optique de ces gens, de mettre en place le Grand Reset de la société occidentale, l'ordre par le chaos (ordo ab chaos), pour y instituer in fine une 4ème révolution industrielle et "reconstruire en mieux" (BBB / Building Back Better) nos sociétés traditionnelles. C'est la méthode des tortionnaires appliquée à la société : on efface tout ce qu'il y a dans le cerveau de la victime pour réécrire ensuite ce qu'on veut (Ref. Naomi Klein, La thérapie de choc).
L'ultime volet du projet est la dictature climatique appuyée sur un transhumanisme qui vise la transformation des humains en objets (ref Attali). Noter la référence à Mark Carney dont j'ai récemment parlé ici dans le vidéo de Pierre Hillard. Je redonne ici la référence au bouquin de Carney qu'il faudra peut-être lire pour bien comprendre ce qu'on nous prépare : il faut toujours remonter aux sources d'origine.
Rien n'est écrit. Résistons. Mais pour résister, il faut bien comprendre ce qui se déroule sous nos yeux, et ce n'est pas évident.
Y a-t-il un "confinement climatique " à l'horizon ? (ZeroHedge). Justement, on commence à en parler ...
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