Covidisme/anticovidisme : une guerre civile mondiale de basse intensité ...

Israël Adam Shamir est un populiste anti-sioniste pro-Poutine d'origine un peu floue (Wikipédia) mais ses analyses politiques sur plume-enclume .org comme 'émeutes covidiales' sont souvent originales.

Pour Shamir, Il est clair que la faille politique majeure du monde occidental passe par la distinction covidistes/anticovidistes, c'est à dire entre ceux qui croient que la crise sanitaire existe en soi et ceux qui pensent qu'il s'agit d'une opération globale montée par les mondialistes contre les peuples. 

En France, cette ligne de séparation sépare l'ensemble du monde politique à quelques exceptions près (Phillipot, Asselineau ...) , et la fraction populaire qui s'oppose aux mesures anti-covid extrêmes, notamment le pass sanitaire, mais souvent, au départ, le port du masque, les confinement et autres 'mesures barrières' ainsi que l'injection régulière du pseudo-vaccin, considérant que le virus 'vit sa vie' quoi qu'on fasse avec ses courbes de contamination en forme de cloche, et que le soin des malades pris en charge par un système de santé efficace avec les médicaments existants aurait résolu le problème depuis longtemps et à moindre coût. Cette fraction résistante s'est récemment comptée dans la rue. Si des chefs émergent, ils seront sans rapport avec le fumier politique existant, égal à lui même dans la soumission et la médiocrité, de l'extrème-gauche à l'extrème-droite en passant par l'extrème-centre.

L'opération covid est globale. Elle se situe temporellement après la "lutte contre le terrorisme" et avant la "lutte pour le climat", deux opérations menées pour contrôler les peuples. Le programme de Davos.

Shamir rappelle les noms des chefs d’État qui ne se sont pas soumis aux diktats de l'OMS : Jouvenel Moïse (Haïti), John Magufuli (Tanzanie), Hamed Bakayoko (Côte d'Ivoire), Ambrose Dlamini (Swaziland), tous morts dans des conditions suspectes. Ajoutons l'affaire Jacob Zuma (Afrique du Sud), Loukachenko (Bielorussie) ... ah, ceux-ci ne sont pas morts. Mais, il ne fait pas bon s'opposer à Big Pharma. 

Pas sûr que les dirigeants soumis comme le nôtre finissent si bien s'ils dépassent les limitent que leurs maîtres avaient fixés au départ. Je verrais bien notre petit dictateur dans le rôle de Hunding, à la fin de l'acte II,5 de la Walkyrie :

Geh hin, Knecht !
Knie vor Fricka :
meld ihr, dass Wotans Speer
gerächt, was Spott ihr schuf.
Geh ! - Geh !

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