samedi 31 juillet 2021

Panoramique de la dictature sanitaire

A ce point du développement de l’opération covid-19, nous sommes capables de découvrir un paysage politique beaucoup plus vaste qu’il y a un an ; nous sommes capables de comprendre un certain nombre de tenants et d’aboutissants que nous ne pouvions pas alors soupçonner. Examinons le déroulement du narratif.

Le projet de soumission de l’humanité aux intérêts de l’élite mondialiste par un système oligarchique collectiviste (Goldstein-Orwell) est très ancien.


La première expérience, celle des bolcheviques de 1917, n’a été qu’un succès limité puisqu’elle n’a duré que 72 ans et n’a régné que sur une fraction de la population mondiale faisant quelques millions de morts au passage. Entre temps, d’autres modèles ont été imaginés ; des entités globales dominant les États ont été établies dans les domaines politiques et culturel (ONU), ainsi qu’économiques (FMI, Banque Mondiale, BRI). Sur le plan idéologique, ces entités ont également pris la main sur les institutions religieuses traditionnelles (notamment sur l’Église catholique) mais elles ne disposaient au départ d’aucun outil permettant de soumettre individuellement chaque être humain de la planète. L'idée de l’utilisation de l’arme sanitaire contre les peuples de la terre entière a dû apparaître plus tardivement.

A la fin des années 90, la microbiologie et la génétique sont suffisamment développées pour permettre le « bricolage » des génomes comme s’il s’agissait d’une boîte de Mécano. En outre, un génome bricolé – une chimère – est brevetable et c’est tout bénéfice. Le coronavirus [terme  générique] est un bon candidat pour ce bricolage, que ce soit côté militaire pour créer des armes biologiques ou côté civil pour créer des vaccins. La fabrication de ces armes est parfaitement interdite par les traités, mais les grandes puissances, USA en tête, savent contourner les réglementations et ne s’en sont pas privés. Après 2000, se crée donc toute un domaine de recherche génétique en zone grise, dans différents pays, où l’on bricole du virus (que l’on n’est pas censé inventer) et le vaccin qui va avec (D. Martin). De temps en temps survient une petite fuite sanitaire ou bien un biologiste mystérieusement retrouvé mort « suicidé ». La profession est à haut risque mais l’affaire est financièrement juteuse pour les acteurs et les actionnaires.

Il impossible de connaître le moment et les circonstances où l’intérêt pour la création simultanée d’un virus de mortalité modérée et de son vaccin associé s’est imposée à la petite élite qui commençait également à se préoccuper d’une réduction de la population mondiale pour servir des intérêts à plus long terme (B. Gates, J. Attali). Cette création envisagée pour une application générale à l’échelle de l’humanité a fait apparaître les intérêts communs de l’industrie pharmaceutique (Big Pharma) alléchée par le jackpot gigantesque généré à l’aide de la vaccination rendue obligatoire par les États, et ceux de ces mêmes États obtenant dans la même opération, un moyen unique de contrôle de leurs populations en insufflant la peur irraisonnée d’un ennemi aussi invisible que mortel. Le rôle de coordinateur  a été confié à l’OMS, le succès de l’opération exigeant par ailleurs la pleine collaboration de tous les médias main stream et des GAFAM, tous parties prenantes des bénéfices dégagés. Dans cette histoire, il est impossible de démêler les intérêts chinois et américains – sans parler des français – . L’association Big-Pharma/ États / médias est décisive pour le pilotage du processus. Si l’un des partenaires manque à l’appel, le projet ne peut pas réussir.

Après quelques coups d’essais plus ou moins ratés (H1N1, fièvre porcine, grippe aviaire, etc.) l’opération finale est programmée. Les pharmaceutiques sont dans les starting-blocks pour sortir les vaccins d’une pandémie qui n’existe pas encore. Des milliers de brevets ont été déposés. En octobre 2019, Event 201 qui réunit tous les acteurs a défini le champ d’application du montage. 

Premier semestre 2020. On ne saura pas exactement ce qui s’est passé à Wuhan, mais, au fond, peu importe. L’OMS est le chef d’orchestre de l’opération. Ça semble cafouiller au début, mais ce cafouillage qui a désorienté les peuples faisait peut-être partie du programme. Il fallait d’abord propager la pandémie, donc la nier, garder les frontières ouvertes, interdire les médicaments utiles comme l’hydroxychloroquine, (requalifiée précocement de substance « vénéneuse ») puis interdire aux généralistes d’intervenir – chose inouïe -, confiner les malades avec les bien-portants de façon à favoriser la contamination entre les deux groupes (13 mars). Ensuite, la mise en place d’un test bidon, la RT-PCR,  incapable de discriminer la covid-19 de la grippe saisonnière, permettant de produire des milliers de « cas » positifs frauduleux faussement identifiés comme des malades finit de terroriser la population. 

Le port du masque chirurgical que tout travail scientifique sérieux antérieur à 2020 considérait comme peu utile en dehors du bloc opératoire est imposé partout y compris en extérieur au milieu de nulle part pour afficher la soumission de chacun. On ne s'étonnera pas que la science ait changé d'avis à partir de 2020 !

Tout ceci fonctionne grâce à la propagande intensive des médias qui jouent la partition qui leur avait été réservée. On nous explique qu’il faut « étaler » la vague des hospitalisations et des réanimations d’un système hospitalier que le régime dépouille par ailleurs sans vergogne de ses postes, de ses crédits et de ses lits. Au passage, on euthanasie les vieux dans les EHPAD avec du Rivotril. Bonne affaire pour les retraites. Les morts « avec covid » sont habilement mélangés aux morts « du covid » pour gonfler les chiffres des décès.

Second semestre 2020. Après le petit répit de l’été qui avait néanmoins vu le maintient du masque par effet de cliquet, les médias préparent le peuple à la « seconde vague » et à l’espérance du vaccin qui va nous sauver. L’interdiction arbitraire du traitement Raoult et de l’ivermectine permet d’affirmer qu’il n’y a pas de traitement valable et ouvre la voie libre aux vaccins qui n’auraient pu être mis sur le marché autrement. Ces « vaccins » (qui n’en sont souvent pas) sont au centre de l’opération, ne l’oubliez pas. Des contrats particulièrement léonins sont signés entre l’UE et les boîtes pharmaceutiques. Notons au passage l’achat massif par l’UE d’un « médicament » inactif pour ne pas dire nuisible, le Remdésivir, qui est rapidement fourgué au tiers monde après le dévoilement public de sa nocivité.

 Les médias poursuivent leur jeu partisan en invitant régulièrement les médecins « jaunes » pourris par les grosses enveloppes de Big Pharma sur les plateaux TV. Dans le même temps, les médecins critiques (Raoult, Péronne, Toussaint, Toubiana, Henrion-Caude, Fouché, etc.) disparaissent peu à peu de ces mêmes plateaux et subissent parfois de grosses pressions sur leur vie personnelle. Sur internet, YouTube et Facebook censurent puis ferment des milliers de comptes de blogueurs critiques. En fin d’année, l’examen approfondi des courbes des décès 2020 de l’INSEE montre la faible incidence du virus sur la démographie. Sur l’ensemble de la crise, on note l’unanimité des politiciens (de l’extrême-droite à l’extrême-gauche) derrière la politique sanitaire menée par le régime : nous saurons nous rappeler d’eux à l’occasion.

Premier semestre 2021. La partition des médias focalise maintenant l’attention du public sur la « troisième vague » ou le "variant anglais" et la promotion de la vaccination. Nous sommes manifestement toujours dans une « casdémie »  (épidémie de cas), fabriquée par les PCR frauduleux. On nous donne un objectif arbitraires de taux de vaccination à atteindre (60 % ? 80%?). L’imposition des « mesures barrières » va et vient au grès d’une politique opaque imposée par un « Conseil Scientifique » de l’ombre, véritable relais de l’OMS auprès du régime. Les problèmes arrivent avec les effets secondaires du premier vaccin du marché, AstraZeneca, dont la diffusion doit marquer le pas et changer de nom au passage .

L’apparition d’un pic de « cas » causé par un "nouveau variant indien" baptisé ‘delta’ permet au régime de maintenir la pression sur la population et de relancer l’opération vaccinale avec une force accrue. Après un premier rappel, les vaccinés sont déjà promus pour une troisième injection dans l’année. Dès juillet, les effets secondaires graves se multiplient pour les quatre vaccins. Sans surprise, les médias taisent ou minimisent ces problèmes. Les taux officiels sont de l’ordre de la dizaine de décès pour cent mille injections. Ce nombre est faible mais il est considérablement plus élevé que ceux de tous les vaccins du passé cumulés, en outre, il pourrait être sous-estimé dans un rapport de 1 à 10. 

Devant la réticence populaire, Macron impose le pass sanitaire (QR code) le 12 juillet. La loi française devient l’une des plus répressive au monde. Pour les médias, l’ennemi n’est plus le virus mais les 30 % de non-vaccinés à qui il faut rendre la vie impossible – du jamais vu -. Au passage, on découvre que le vaccin n’empêche ni l’infection du porteur, ni la contamination des autres. En bref, il ne sert pas à grand-chose pour une épidémie qui ne tue pas grand-monde. Il porte des effets à long terme inconnus, mais on va l’imposer aux enfants de 12 ans qui ne sont pas touchés par le virus. Une politique de fous criminels.

Ainsi, l’opération minutieusement préparée pendant les années 2010 est arrivée à maturité chez nous. Elle est plus ou moins avancée ailleurs. Elle s'appuie sur les meilleures expériences de l'ingénierie sociale pour manipuler l'opinion (expérience de Milgram, expérience de Asch). 

Des milliards de doses de vaccins ont été vendues et continueront à être vendues aux États quoi qu’il advienne grâce aux clauses abusives des contrats léonins. Des milliards de test PCR frauduleux ont également été vendus pour asseoir l’existence d’une épidémie qui n’aurait pas été remarquée autrement. Les libertés démocratiques – ce qui en restait après la précédente opération de ‘lutte sans fin contre le terrorisme’ - ont été lessivées et une bonne partie des économies souveraines ont été détruites : l’élite de Davos y a vu un effet d’aubaine pour y installer son Great Reset. Ceci faisait sans doute partie du projet initial de cette oligarchie collectiviste, mais un important travail d’analyse doit encore être fait pour décortiquer ce complot mondialiste (qui en est bien un). Pour l’instant, la société devenant une cocotte minute monte en pression. Pas sûr que le projet final de Davos voit vraiment le jour. On est mal, mais tout n’est pas perdu.

L’opération covid-19 étant basée sur une montagne ahurissante de propagande, il est légitime de penser que la suivante baptisée « lutte contre le réchauffement climatique » le sera également. Nous n’avons encore rien vu de ce côté-là. 

Aladin     



  • L'excellente vidéo d'Alexandra Henrion-Caude sur les vaccins covid et les références médicales associée à celle-ci . 32m52s. Odysee.

https://www.pnas.org/content/118/21/e2105968118
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7827936/
https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(21)00134-1/fulltext
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32578263/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0142961210006459
https://www.visiontimes.com/2021/04/30/covid-19-report-breastfeeding-baby-dies-after-mother-receives-pfizer-vaccine.html

Concernant la question sur le magnétisme vaccinal, A H-C se référençant aux anciens travaux de Yves Rocard, rappelle que tous les humains possèdent des zones magnétisées. J'ai effectivement constaté le phénomène (très faible) au niveau de l'avant bras, suffisant pour coller une petite pièce.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.