Article : Science niée: l'obligation vaccinale de Biden. [NdT : on peut écrire 'Macron' à la place de 'Biden']
Rédigé par Jeffrey Tucker via Brownstone.org, ZH.
Le président Biden a décidé d'aller plus loin contre le virus. Plus de Monsieur brave type.
Malheureusement pour lui, ces minuscules microbes pathogènes ne paient pas d'impôts, ne votent pas, n'ont pas de numéro de sécurité sociale, ne peuvent pas être recrutés et ne répondent pas aux appels téléphoniques des scrutateurs, c'est-à-dire qu'il et ses agences ne peuvent pas vraiment les contrôler. Ça doit être frustrant, le pauvre.
Dans un mouvement maniaque de désespoir sauvage - ou comme excuse pour essayer les pouvoirs les plus extrêmes de son bureau - il utilise toutes les armes qu'il croit avoir pour assurer le respect de son rêve d'injecter autant de bras que possible. Ce n'est qu'alors que nous écraserons le virus, tout cela grâce à son leadership, que toutes les plaintes concernant la « liberté » soient damnées – et peu importe que la réalisation de son rêve n'ait pas fonctionné en Israël ou au Royaume-Uni.
Quels sont les problèmes immédiats ici ? Au moins cinq :
1. Le mandat [obligation] Biden prétend que la seule immunité est celle injectée, pas celle qui est naturelle. Et il en est ainsi depuis le début de cette pandémie, même si toute la science depuis au moins un an – en fait on peut dire des siècles – contredit cela. En effet, nous connaissons l'immunité naturelle depuis 400 av. JC. Le mandat de Biden pourrait affecter 80 millions de personnes, mais un bien plus grand nombre que cela a probablement été exposé et a acquis une immunité solide quel que soit le statut vaccinal.
2. Cette immunité naturelle est de longue durée, et nous le savons depuis l'année dernière, lorsque les premières études l'ont révélée. Vous pouvez dire que l'ajout d'un vaccin fournit encore plus, mais il est nouveau et non testé par rapport à la plupart des médicaments approuvés par les régulateurs, et de nombreuses personnes s'inquiètent des effets secondaires possibles de ce vaccin qui a été approuvé beaucoup plus rapidement que n'importe quel médicament de ma vie - et il n'y a pas un seul être humain vivant en mesure de dire avec certitude que ces sceptiques ont tort.
3. Le mandat suppose que tout le monde est également susceptible de subir des conséquences graves en cas d'exposition au virus, ce qui, nous le savons, n'est pas vrai depuis au moins février 2020. Dans tout ce fiasco de 18 mois, nous n'avons vu aucun pic sérieux au niveau de la vaste gamme de gradients démographiques d'infection en fonction à la fois de l'âge et de l'état de santé général. Cette ignorance est la conséquence d'un mauvais message de santé publique et est manifestement irresponsable. Le mandat agrégé de l'administration Biden l'ignore complètement, tout comme les modèles qui suggéraient des confinements en cas de virus à partir du printemps 2020.
4. Biden semble toujours croire que les vaccins arrêtent l'infection (il l'a affirmé à plusieurs reprises) et la propagation, mais nous savons avec certitude que ce n'est pas le cas, et même le CDC l'admet. La meilleure supposition à ce stade est que cela peut aider à prévenir l'hospitalisation et la mort, mais cette expérience en est encore à ses débuts, et la relation entre la cause et l'effet dans les affaires humaines n'est pas aussi facile que de jeter deux ensembles de données et de dire que l'une a causé L'autre. La plupart des cas dans le monde développé se produisent maintenant parmi les vaccinés – et nous le savons tous parce que nous avons des amis vaccinés qui ont de toute façon contracté Covid. Certains sont morts. Nous ne sommes pas des idiots, contrairement à ce que croit l'administration Biden. Aucun d'entre nous non plus n'a toutes les connaissances et les réponses. Et c'est précisément parce que la science est incertaine que les décisions qui l'entourent doivent être décentralisées, dépolitisées et ouvertes à la correction plutôt que d'être imposées par des mandats descendants.
5. L'ordre de Biden va à l'encontre des libertés et droits humains fondamentaux. Il n'y a pas d'autre façon de le dire. Et c'est ce fait qui est le plus prémonitoire pour les multitudes qui bouillonnent en ce moment de colère qu'un homme qui détient le pouvoir puisse prendre des décisions de santé pour toute la population indépendamment de leurs jugements parfaitement rationnels. Lorsque l'aiguille remplie de liquide est enfoncée dans les bras de personnes qui ont des immunités naturelles ou qui ne craignent pas d'être exposées à l'agent pathogène, cela devient personnel et les gens deviennent vraiment fous, surtout après avoir été forcés de porter des masques et privés d'autres droits essentiels. .
La vérité est que mon téléphone a explosé toute la soirée depuis le discours de Biden. Les gens sont démoralisés, paniqués, furieux, et même au point de le perdre complètement face à ce moment despotique que nous vivons. La plupart d'entre nous croyaient que nous vivons à une époque scientifique dans laquelle l'information serait largement diffusée dans le monde et cette technologie nous empêcherait en quelque sorte en tant que société de devenir la proie des charlatans, du mysticisme de la foule et des méthodes brutales de contrôle de la population, sans parler de au déploiement de talismans superstitieux et de charlatanisme. Cela s'avère être faux, et c'est peut-être le plus grand choc de tous.
Les scientifiques ont travaillé pendant des centaines d'années pour comprendre les agents pathogènes. Ils se sont efforcés de comprendre leur effet sur le corps, l'étendue de la susceptibilité à la fois aux infections et aux conséquences graves, les caractéristiques démographiques de la vulnérabilité, les moyens par lesquels nous en sommes protégés, ainsi que les opportunités et les limites dont disposent les personnes pour se protéger et autres. Après tout cela, l'humanité a mis en place des institutions qui ont protégé la liberté humaine, les droits individuels et la santé publique, tout en préservant la paix et la prospérité dans le meilleur des cas.
Au cours des 18 derniers mois, tout ce travail acharné et ces connaissances semblent avoir été déchiquetés, remplacés par la superstition se faisant passer pour une sorte de nouvelle science du contrôle social et pathogène. Au cours de cette année et demie, nous n'avons observé aucun succès clair et des échecs incessants. Il y a un an, l'humanité a eu l'opportunité d'embrasser la sagesse de la Déclaration de Great Barrington pour protéger les personnes vulnérables tout en laissant la société fonctionner autrement. Les gouvernements ont plutôt choisi la voie de l'ignorance et de la violence. La liste est longue mais elle comprend : les restrictions de voyage, les limites de capacité, les fermetures d'entreprises, les fermetures d'écoles, les masques obligatoires, la séparation humaine forcée (« distanciation sociale »), et maintenant les mandats de vaccination que, apparemment, un grand nombre ne veulent pas.
Tout est conçu pour que les gouvernements puissent prouver au monde qu'ils sont assez puissants, assez intelligents, assez éduqués pour déjouer et gérer n'importe quel organisme vivant, même invisible qui fait partie de l'expérience humaine depuis que les humains ont des expériences. En cela, ils ont complètement échoué – de plus de manières qu'il n'est possible de compter.
Nous continuons à penser que sûrement, sûrement, nous arriverons à la fin de cette folie. Personnellement, je pensais que cela prendrait fin la deuxième semaine de mars 2020. Au lieu de cela, cela devient de pire en pire, l'illusion de contrôle s'étant emparée des cerveaux à peine fonctionnels des classes dirigeantes des nations les plus riches du monde. Si cela ne prouve pas l'étonnante stupidité des plus puissants et des plus éduqués du monde, rien d'autre dans l'histoire ne le fait.
Le grand mythe qui a assombri notre vision et nos attentes est que nous, en tant que peuple, avons dépassé le genre de schibboleths étatiques et de brutalité fanatique qui définissent notre époque. La vérité est que ce n'est pas vrai.
Ce jour-là, une Karen [une chieuse de 45 ans] m'a attaqué parce que je n'avais pas de masque. Je l'ai regardée et je n'ai pensé qu'aux pauvres de l'Amérique coloniale qui osaient se faire surprendre avec des chaussures à boucle et donc enfreindre les lois somptuaires, ou aux minorités religieuses de l'Europe médiévale qui étaient les boucs émissaires de chaque fléau (recherchez les origines de l'expression « empoisonner le puits »), ou la diabolisation des rebelles dans l'ancien empire romain ou la désapprobation des hérétiques dans les centaines d'années qui ont suivi la chute de Rome.
C'est une marque d'une société primitive d'attribuer à la conformité ou à la non-conformité politique ce que la science rationnelle montre être une caractéristique du monde naturel. Pourquoi? L'ignorance, peut-être. Des ambitions de puissance, plus vraisemblablement. Le bouc émissaire est apparemment une caractéristique éternelle de l'expérience humaine. Les gouvernements semblent particulièrement doués pour cela, même quand c'est moins crédible que jamais.
Rappel : Que signifie 'Karen' en argot américain ? Karen est un terme d'argot moqueur pour une femme blanche d'âge mûr parfaitement odieuse. Karen est généralement stéréotypée comme ayant une coupe de cheveux blonds, demandant à parler aux directeurs de vente au détail et de restaurant pour exprimer des plaintes ou faire des demandes, et étant une mère tenace et souvent divorcée de la génération X. En clair, une vraie chieuse. 'Karen' est un terme aussi insultant pour les femmes blanches que 'nègre' pour les noirs.
- Tiens, l'Angleterre revient au pass sanitaire ... vraiment du grand n'importe quoi: ZH. Ils sont aussi cons la-bas que chez nous.
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