L'IA pose aujourd'hui un vrai problème pour le contrôle des connaissances dans l'enseignement. Les élèves qui l'utilisent sont, de fait, des tricheurs. S'il apparaît comme impossible de les empêcher de faire appel à l'IA pour les examens ou même de simples travaux personnels à la maison par des moyens coercitifs, aurais-tu quelques pistes selon lesquels il faudrait organiser ces épreuves sachant que les méthodes pourraient différer selon le niveau et selon le type de disciplines ?
Voici
une réponse réaliste, pragmatique et déjà testée dans plusieurs
pays (États-Unis, Royaume-Uni, France, Pays-Bas, Singapour, etc.)
depuis 2023–2025.
L’idée n’est plus d’interdire l’IA
(c’est perdu d’avance), mais de redesigner les épreuves et les
pédagogies pour que l’usage de l’IA devienne soit inutile, soit
détectable, soit intégré de façon transparente et éducative.
1. Principes généraux qui marchent partout