Ce texte écrit par un anglo-saxon s'applique exactement à la situation française, ce qui démontre bien le caractère global, mondialiste, de la dictature qui nous est appliquée...
La fabrication du consentement
La nouvelle normalité (phase 2)
Mardi 9 mars 2021-0: 05
Rédigé (principalement de manière satirique) par CJ Hopkins via The Consent Factory (ZeroHedge)
Donc, nous sommes depuis presque un an dans la «nouvelle normalité» (a/k/a «totalitarisme pathologisé») et les choses semblent toujours… enfin, assez totalitaires.
La majeure partie de l'Europe occidentale est toujours en «confinement», «sous couvre-feu» ou dans un autre état d'«urgence sanitaire». La police inflige une amende et arrête des personnes pour «être à l'extérieur sans raison valable». La protestation est toujours interdite. La dissidence est toujours censurée. La propagande officielle est implacable. Les gouvernements gouvernent par décret, soumettant les gens à une série en constante évolution de restrictions de plus en plus absurdes des aspects les plus fondamentaux de la vie quotidienne.
Des «passeports vaccinaux» (qui sont vraiment effrayants, mais qui ne ressemblent en rien aux certificats d’ascendance aryenne ou à tout autre document de type fasciste de l’apartheid, alors ne pensez même pas à faire une telle comparaison !) des pays. Ils ont déjà été déployés en Israël.
En d'autres termes, comme nous l'avions prédit, «théoriciens du complot», les «mesures temporaires d'urgence de santé publique» mises en œuvre par GloboCap en mars 2020 sont toujours très en vigueur, et même certaines.
Cela dit, comme vous l'avez probablement remarqué, la teneur des choses évolue un peu, ce qui n'est pas surprenant, car GloboCap fait maintenant la transition de la phase 1 à la phase 2 du déploiement de la «nouvelle normalité».
La phase 1 était l'à peu près classique «choc et effroi».
Un «virus apocalyptique» a été «découvert». Un «état d'urgence» mondial a été déclaré. Les droits constitutionnels ont été supprimés. Des soldats, des policiers, des caméras de surveillance, des drones militaires et des chiens robots ont été déployés pour mettre en œuvre l'état policier mondial. Les masses ont été bombardées de propagande officielle, des photos de personnes tombant mortes dans la rue, des patients inconscients mourant à l'agonie, des corps entassés dans des camions de fortune de la morgue, des navires-hôpitaux, des histoires d'horreur aux soins intensifs, des projections de centaines de millions de morts, des orwelliens induisant la terreur, slogans, panneaux d'affichage sentimentaux «d'effort de guerre», etc. Toute la force de la machine de propagande goebbelsienne la plus redoutable de l'histoire s'est déchaînée sur le public en même temps. (Voir, par exemple, CNN, NPR, CNBC, The New York Times, The Guardian, The Atlantic, Forbes et d'autres sources «faisant autorité» comme le FMI et le Groupe de la Banque mondiale, le WEF, l'ONU, l'OMS, les CDC.)
Mais la phase du «choc et effroi» ne peut pas durer éternellement et n’a jamais été conçue pour l'être. Son but est (a) de terroriser les masses ciblées dans un état de soumission, (b) de déstabiliser irréversiblement leur société, afin qu'elle puisse être radicalement «restructurée», et (c) de démontrer de manière convaincante une supériorité écrasante de la force, donc cette résistance est rendue inconcevable. Cette tactique de choc et de crainte (ou «domination rapide») a été déployée par les empires et les futurs empires tout au long de l'histoire militaire. Il vient d'être déployé par GloboCap contre… enfin, contre le monde entier. Et maintenant, cette phase touche à sa fin.
La forme de la phase 2 n'est pas encore tout à fait claire, mais on peut faire quelques hypothèses logiques.
Typiquement, c'est la phase dans laquelle la force conquérante (dans ce cas, GloboCap) rétablit la «normalité» (c'est-à-dire une «nouvelle normalité») à la société qu'elle vient de déstabiliser et de terroriser. Il installe un nouveau gouvernement favorable à l'occupation, redémarre l'économie et commence par ailleurs la transition progressive de la loi martiale à quelque chose qui ressemble à la vie quotidienne «normale». Il distribue des friandises aux enfants, une aide financière aux entreprises, le pouvoir aux généraux et à la police, et la «liberté» au public choqué.
Cela semble être là où nous en sommes actuellement. Comme vous l’avez probablement remarqué, les médias d’entreprise, les dirigeants gouvernementaux et les experts médicaux ont fait du bruit sur «la fin de la pandémie», ou du moins «la fin de la phase d’urgence» de celle-ci. Soudain, «un certain niveau de Covid est tolérable», «Zéro Covid est peu probable», et cetera. Cela se produit à peu près juste au bon moment.
Maintenant que la campagne de vaccination est en cours, ils essaient de tempérer la paranoïa et la haine de masse qu'ils ont fomentée pendant plus d'un an avec un peu d'espoir et une vision d'un avenir d'après-crise. Les gouvernements assouplissent soigneusement les restrictions, s'assurant que nous comprenons que si nous n'obéissons pas aux ordres, portons nos masques, faisons nos vaccinations, et ainsi, ils nous réprimeront à nouveau sans pitié. Ils veulent nous faciliter doucement dans l'avenir pathologisé-totalitaire, de sorte que nous ayons l'impression d'être libérés, retournant à un semblant de vie normale, bien que dans un monde nouveau, plus terrifiant, perpétuellement menacé par les virus et les extrémistes.
Par exemple, ici en Allemagne, le gouvernement a décidé de «rendre un peu de liberté et de confiance au peuple», mais il est prêt à nous enfermer à nouveau «durement» s’il soupçonne que nous n’avons pas «utilisé sa confiance à bon escient». Selon le plan en 5 étapes, les librairies et les fleuristes peuvent rouvrir cette semaine avec une limite d'une personne par dix mètres carrés, jusqu'à dix personnes peuvent pratiquer des sports sans contact, et cinq personnes de moins de deux ménages peuvent se rencontrer (et donc pratiquer également des sports sans contact), à moins que le «taux d'incidence» des tests PCR positifs ne dépasse 100 pour mille, auquel cas, nous retournons au «confinement dur». Deux semaines plus tard, le 22 mars, si le «taux de test positif» reste inférieur à 50, les repas au restaurant en plein air peuvent reprendre et les théâtres, cinémas et opéras peuvent ouvrir. Cependant, si le «taux de test positif» est supérieur à 50 mais inférieur à 100, les repas en plein air ne seront autorisés que sur une base strictement de pré-réservation. (On suppose qu'il y aura des escouades itinérantes qui examineront les registres de réservation des restaurants et ordonneront aux clients de montrer leurs papiers.) Il y a d'autres conditions kafkaïennes dans le plan, mais je pense que vous avez l'idée générale.
Pendant ce temps, aux États-Unis, bien que DC reste sous occupation, le Capitole entouré de barbelés pour protéger la démocratie d'un ennemi imaginaire tout droit sorti de 1984 de George Orwell, le Texas, le Mississippi et quelques autres États rejoignent la Floride en rébellion ouverte, et permettre aux gens de sortir pour manger, de se réunir avec leur famille et leurs amis, de se promener en public sans masque d'aspect médical et de vivre leur vie sans avoir l'anus serré de façon paranoïaque.
Malgré l'indignation des sectateurs du Covid, ce développement n'est pas une grande préoccupation pour GloboCap, car les centres de pouvoir côtiers sont à part entière la «Nouvelle Normalité», et les libéraux qui les occupent principalement ont été transformés en zélotes paranoïaques et hystériques qui se consacrent maintenant beaucoup de temps pour traquer les prétendus «négationnistes de Covid», «anti-masques», «refuseurs de vaccins», «extrémistes de la suprématie blanche», «théoriciens du complot», «libertaires», «caricaturistes racistes» décédés, et quiconque qui ne se conformeront pas à leur idéologie totalitaire pathologisée, et les traîner de façon obsessionnelle sur les réseaux sociaux, ou signaler leurs crimes de pensée à la police de la réalité.
Cette transformation des classes moyennes / supérieures relativement aisées, à prédominance libérale, et des millions qui y aspirent inutilement, en «bons Allemands» (ou plutôt, en «nouvelles normales» qui suivent un ordre inconsidéré) s'est également produite. ici en Europe occidentale, et ailleurs dans tout l'empire capitaliste mondial, et était l'un des principaux objectifs de GloboCap tout au long de la phase 1 du déploiement de la «nouvelle normalité». Cette transformation est en cours depuis un certain temps, de manière moins spectaculaire et sans virus. Il continuera une fois que ce virus aura disparu.
La «nouvelle normalité» n’est pas qu’un virus. La «nouvelle normalité» n’a jamais été un simple virus. Vous n’avez pas besoin d’une nouvelle «normalité» à cause d’un virus. Vous avez besoin d'une nouvelle «normalité» lorsque votre «normalité» actuelle a dépassé son utilité pour ceux qui sont au pouvoir, qui, dans notre cas, sont les classes dirigeantes capitalistes mondiales.
J'écris à ce sujet depuis… enfin, la majeure partie de ma vie, et je publie ces articles depuis cinq ans, donc je ne vais pas résumer tout cela ici, mais, fondamentalement, nous vivons l'un de ceux-là. des transformations historiques de la structure du pouvoir politique que nous ne reconnaissons généralement pas avant qu'il ne se soit produit ... pas seulement un «changement de garde», une transformation de la nature du pouvoir, de la façon dont il est exercé, des croyances sur lesquelles il se fonde et la «réalité» provoquée par ces croyances.
Cette transformation a commencé avec la fin de la guerre froide, lorsque le capitalisme mondial est devenu le premier système idéologique mondialement hégémonique de l'histoire. Le déploiement de la «nouvelle normalité» fait partie de cette transformation, non pas dans son intégralité, mais une étape essentielle. Nous sommes en train de passer d'une «réalité» idéologique à une «réalité» post-idéologique, pathologisée… une «réalité» dans laquelle tout écart par rapport à l'idéologie officielle (c'est-à-dire la «normalité») n'est plus un défi ou une menace politique, mais une «maladie» ou un «trouble psychiatrique».
Je vais être désagréable et me citer moi-même, pour ne pas avoir à essayer de l'expliquer à nouveau. Voici un passage d'une chronique récente :
«Un système globalement hégémonique (par exemple, le capitalisme mondial) n’a pas d’ennemis extérieurs, car il n’existe pas de territoire« en dehors »du système. Ses seuls ennemis se trouvent à l’intérieur du système, et donc, par définition, sont les insurgés, également appelés «terroristes» et «extrémistes». Ces termes sont évidemment dénués de sens. Ils sont purement stratégiques, déployés contre quiconque s'écarte de l'idéologie officielle de GloboCap… qui, au cas où vous vous poseriez la question, est appelée «normalité» (ou, dans notre cas, actuellement, «nouvelle normalité»)… [l] a nouvelle race de Les «terroristes» ne nous haïssent pas seulement pour notre liberté… ils nous haïssent parce qu'ils détestent la «réalité». Ils ne sont plus nos opposants politiques ou idéologiques… ils souffrent d'un trouble psychiatrique. Ils n’ont plus besoin d’être disputés ou écoutés… ils doivent être «traités», «rééduqués» et «déprogrammés» jusqu’à ce qu’ils acceptent la «réalité». »
Alors que nous passons de la phase 1 à la phase 2 de la «nouvelle normalité», la pathologisation de la dissidence politique continuera et s'intensifiera, à la fois ouvertement et subtilement.
GloboCap et les médias d'entreprise continueront d'avertir des «attaques contre la démocratie» imminentes par des «terroristes nationaux» imaginaires, ainsi que par les vieux «terroristes non nationaux». Ils continueront également d'avertir des menaces imminentes posées par des virus exotiques, des «variantes» de virus exotiques et des «conditions» permanentes causées par des virus et d'autres menaces pour nos fluides corporels. Par-dessus tout, ils continueront d'avertir du danger d'ingestion de «désinformation», de «théories du complot» ou de tout autre type de contenu non vérifié, non autorisé et non vérifié. Ils diagnostiqueront en profondeur les sources d'un tel contenu et expliqueront de manière exhaustive les conditions pathologiques dont ces sources souffriront clairement. Ils exploreront une variété de traitements et de remèdes et recommanderont des mesures prophylactiques contre une exposition potentielle à ces sources.
Ces multiples «menaces à la démocratie» (c'est-à-dire «terroristes», «virus», «désinformation», «racisme», «sexisme», «homophobie», «transphobie», «scepticisme du système électoral», «sirop de pancake de suprématie blanche» , « abus de pronoms prémédité»,« provocation infantile par opposition au masque", «hésitation à la vaccination »,« religion », etc.) fusionnera en un seul ennemi semblable à Goldstein auquel les enfants de la «Nouvelle Normalité » seront conditionnés par réflexe de haine et de peur, et voulant faire taire et mettre en quarantaine la société «normale», ou «guérir» leur «maladie» avec des thérapies pharmaceutiques «sûres et efficaces» mandatées par le gouvernement.
Mais peu importe… je ne m'en soucierais pas. Je suis probablement en train de m'énerver pour rien. Après tout, comme beaucoup de mes ex-amis vous le diront (à travers leurs multiples masques et écrans faciaux prophylactiques), je ne suis qu'un «théoricien du complot» paranoïaque qui répand une «désinformation non vérifiée».
(Source)
L'ouvrage sulfureux de Roger Garaudy : Les mythes fondateurs de la politique israélienne ... mais vous ne le trouverez pas facilement, il est censuré. Babelio.
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