En mars 2020, la Chine n'aurait eu que des effets légers du covid-19 rapportés à sa population. Admettons ces chiffres, non vérifiables par ailleurs. L'épidémie est arrivée à point nommé pour renforcer une dictature déjà bien lourde, éradiquant au passage ce qui pouvait rester des libertés individuelles.
Grâce à la technologie du smartphone et de la 5G, plus d'un milliard d'individus peuvent être ainsi tracés simultanément presque au mètre près.
Notons au passage que cette technologie permet de payer, donc de supprimer l'argent liquide. Les chinois qui ont une longue accoutumance avec la dictature trouvent d'ailleurs ça très bien. C'est tellement moderne.
Une application de suivi permet de savoir qui chacun a rencontré, et si ce "qui" est marqué en rouge comme contaminé, le cas contact est assigné à résidence chez lui pendant deux semaines : il ne pourra aller nulle part, même pas pour faire des courses pour s'alimenter ou pour voir des amis. La vaccination n'est plus une option. Voyez l'excellent article "Passeport sanitaire, à la mode chinoise" de Sébastien Ricci. Noter au passage que, dans ce contexte, le smartphone devient obligatoire.
Il va de soi qu'il existe une certaine ressemblance entre le mondialisme à la sauce Schwab (celle du WEF) et la dictature communiste. Les deux visent in fine le même modèle : la termitière. Quel progrès !
Après, le pire n'est pas certain : une bonne tempête solaire comme l'événement de Carrigton de 1859 peut encore griller d'un coup tous les satellites et tous les appareils électroniques. Ce sera dur, ça fera beaucoup de morts, mais les survivants retrouveront d'un coup leurs libertés. Je crains que nous soyons amenés à souhaiter ça un jour.
Dans un autre ordre d'idée, mais, pour ceux qui réfléchissent, ça n'est pas sans rapport avec ce qui précède, noter cet avatar du féminisme. Ce mouvement qui s'est battu pour éradiquer les formes les plus choquante de la domination sur les femmes en est aujourd'hui à utiliser l'art pour faire la promotion du clitoris. C'est la vocation des femmes derrières le site le gang du clito.
Ces gens ont installé ainsi un clitoris gonflable de cinq mètres de haut, place du Trocadéro face à la tour Eiffel considérée comme symbole phallique. Cet "art" qui rejoint le plug anal de la place de Vendôme avec lequel il partage l'incommensurable vulgarité terminera comme ce dernier dans les poubelles de l'histoire.
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