mardi 7 août 2018

LGBT et plus si affinités


Il y a trente ans et plus, une majorité de gens s’accordaient sur le fait qu’il y avait 3 sexes : des hommes (un peu moins de 50 %), des femmes (un peu moins de 50 %) et la fraction restante classée en « défectueux ». Parmi la majorité, une petite fraction donne sa préférence à des partenaires du même sexe cantonnant obligatoirement la sexualité dans une activité de loisir récréatif puisqu’elle ne pouvait en aucun cas être procréative et socialement utile.
La théorie du genre est née aux Etats-Unis à la fin des années 80. Deux noms émergent du champ anthropologique concerné : Gayle Rubin et Judith Butler. Elle était cependant issue de courants théoriques beaucoup plus anciens (École de Francfort, french theory, …). Lire l’article Wikipédia sur le sujet. Il est très complet.
L’expression ‘Théorie du Genre" et l'acronyme LGBT se sont répandus en France après 2010, c’est à dire très tardivement. L’acronyme était inconnu du grand public en dehors des internautes curieux qui ratissaient le web et bien sûr du milieu LGBT lui-même. Depuis, la puissance communicative de cette minorité a explosé, poussée par le féminisme radical et l’ensemble de la gauche sociétale libérale libertaire et de plus en plus soutenue par les politiques libérales (UE, ONG) pour des raisons inavouables. Les médias officiels lui accordent d’ailleurs une attention hors de proportion avec son importance numérique. Une avalanche de mots et d’acronymes nouveaux sont apparus dans la foulée (Tapez ‘glossaire LGBT’ et vous saurez tout). Ce glossaire est un programme en soi et je vous invite à le lire avec attention. 


 
Maintenant, si vous êtes homme hétéro lambda (cis, dans leur jargon), blanc et catholique de surcroît (vous aggravez votre cas), et si vous croyez en outre que ces gens débordant d’amour ne vous feront jamais aucun mal, soyez attentifs aux tags et tracts exposant sur les murs des quartiers les opinions spontanées de cette minorité : ce qu’ils expriment n’est pas du tout bienveillant pour vous. De toute façon, l’hétérophobie n’existe pas (c’est un dogme) et vous êtes un salaud potentiel, donc fermez là !
Un point intéressant : c’est la volonté politique de la gauche actuelle de créer une force regroupant les minorités hétérogènes (LGBT, féministes radicaux, migrants, etc.). Évidement, ça ne peut pas marcher car les intérêts regroupés sont souvent antagonistes. Examinez par exemple le mouvement TERF (Trans-Exclusionary Radical Feminist) ou rappelez vous des incidents de Cologne en 2016 (google : Cologne agressions sexuelles 2016).
Parlons un peu « art ». Trois « œuvres » bien caractéristiques de la culture LGBTIQ… 
 
« Le plug anal » de Paul Mac Carty, place Vendôme à Paris. Vandalisé le 18 octobre 2014.
"Le vagin de la reine" ou la grande sculpture "Dirty Corner" de l'artiste britannique Anish Kapoor installée dans les jardins du château de Versailles. Vandalisé plusieurs fois en septembre 2015.
Immersion, plus souvent désignée par le titre abrégé Piss Christ, est une photographie de l'artiste américain Andres Serrano, réalisée en 1987. Vandalisée à plusieurs reprises. Pièce maîtresse de la culture cathophobe(*). 
 
Le vandalisme et le scandale font partie de la com. organisée autour de ce genre d’œuvres.
(*) La cathophobie est la peur/haine des catholiques (2 % de pratiquants en France), qui font plutôt profil bas en général tant qu’on ne les piétine pas. Elle s’inscrit dans la continuation de la lutte séculaire entre l’Église et la Franc Maçonnerie.

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