L’opération Covid ou la dernière étape dans la prédation de la finance

L’opération Covid ou la dernière étape dans la prédation de la finance sur les peuples … en attendant la suivante.

La prédation des élites est une constante dans l’histoire. Au départ, le pillage accompagnant les guerre, l’exploitation des dominés (esclavage, servage, capitalisme) ainsi que l’impôt confiscatoire en illustrent les premières formes.

La prédation financière arrive avec l’instauration de la monnaie (invention géniale), le prêt à intérêt et l’usure. La forme moderne de cette prédation financière apparaît avec la naissance des grandes banques modernes : celles-ci prêtent à intérêt de l’argent qu’elles n’ont pas, principalement aux États pour mener des guerres coûteuses.  Quelques dates importantes : la création de la Banque d’Angleterre (1694), de la Banque de France (1800), de la FED (1913) pour terminer par la fin des accords de Breton Wood (1973) et l’endettement irréversible de tous les États désormais obligés d’emprunter sur les marchés financiers. L’endettement des ménages et des États va croître quasi-linéairement avec une brusque accélération à partir de 2008 et une émission inconsidérée de capitaux par les banques centrales (FED, BCE, BoJ, BoA … : - QE - quantitative easing), capitaux  prêtés à des taux très faibles ou nuls (ZIRP) voire négatifs (NIRP), aubaine pour les spéculateurs, sans que cela ne présente aucune utilité pour les banques faillies ni pour l’économie réelle. Le système ne marche plus, mais on continue à faire comme si. Dans un monde normal, on aurait pendu les banquiers incriminés.

Puis vient l’opération Covid.  

Au départ (février-mars 2020), on croit aux salades du régime… et puis, c’est un peu la même chose partout. Passé la première « vague », l’absurdité de la politique sanitaire imposée apparaît aux yeux de quiconque examine les choses avec une attention critique. Nos dirigeants sont strictement incompétents, mais, chose curieuse, ils ne sont pas seuls ; la situation est la même presque partout où la « planche à billets » va tourner à plein régime pour financer une politique du « quoi qu’il en coûte ». Avec le dixième de la dépense, on aurait pu soigner les gens malades avec des médicaments peu coûteux et un renforcement des moyens hospitaliers sans massacrer les libertés de tous et l’économie nationale. Mais ce n'est pas le choix qui a été fait. Bizarre.

Après la « seconde vague », le doute n’est plus possible : ces gens (nos dirigeants) ne sont absolument pas incompétents, ni chez nous, ni ailleurs, mais ils sont là pour appliquer une politique décidée bien plus haut, ce qu’ils font très bien. Que la méthode semble manifestement absurde n’a aucune importance :

a) Sur le plan politique : casser ce qui reste de l’État démocratique (ordonnances, hauts conseils et justice à la botte) et de l’État social (validation réformes chômage, assurance maladie, retraites). Terroriser les gens pour les contrôler un par un. Les diviser  en vax/anti-vax pour mieux les soumettre, censurer  internet (GAFAM). Empêcher si possible toute expression de révolte dans la rue (confinements). Contrôler totalement le corps médical. Empêcher l’apparition de leaders (poursuites). Limiter au maximum tout déplacement intérieur ou extérieur. Nos sommes plus encagés que les anti-nazis en 33… d’ailleurs, où aller ?

b) Sur le plan économique : casser l’industrie et le commerce local pour confier ces secteurs aux corporations internationales. Ruiner les classes moyennes afin de les amener au dilemme : accepter l’aumône d’un revenu minimum en échange de leur soumission ou crever de faim… et bien sûr, booster l’endettement qui, en explosant, préfigure l’asservissement des générations futures. Ça, c’est la part réservée aux banquiers. Gaver Big Pharma en lui apportant, entre les tests et les vaccins, les revenus d’un jack-pot infini.  Parfait ! C’était inscrit dans le business plan.

Ces gens sont donc très compétents. Leur programme s’est déroulé impeccablement depuis un an. Les gogos terrorisés par le virus n’ont rien vu.

Gouvernants compétents mais d’une malveillance et d’une toxicité épouvantable. On est en droit de se poser la question de la suite du programme : crédit social à la chinoise, le pass sanitaire étant l’étape menant à l’identifiant numérique unique ? Liquidation définitive de la monnaie physique remplacée par une monnaie numérique totalement traçable ? Vaccins inutiles pour l’immunité mais outils de réduction de la population ?

Les complotistes ont eu plutôt raison jusque là, en sera-t-il de même pour la suite ?

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• Des hackers font planter des lecteurs de code-barres avec un QR code. Ils utilisent pour cela la chaîne EICAR utilisée dans l'informatique pour tester les antivirus [01-Net]. Théoriquement le code QR associé plante le système qui le regarde (s'il l'analyse). Se balader dans la rue avec un tee shirt qui l'affiche pourrait être amusant. 

• Israël impose le pass sanitaire aux enfants à partir de 3 ans. [Le Soir]. Etre leader mondial de la vaccination pour en arriver là démontre l'ampleur de l'arnaque.