La destruction du savoir

Il est impossible de détruire le savoir scientifique directement. Avec le temps, le savoir tournant autour du Covid-19 - il en est de même pour le climat - devrait converger vers une connaissance de plus en plus parfaite du sujet ... mais ce n'est pas le cas. Pour détruire le savoir, il faut submerger la vérité qui fraye péniblement son chemin sous une montagne d'approximations, de mensonges purs ou de paraphrases inutiles.

Les gens intelligents sont censurés, les guignols en conflits d'intérêts magnifiés, le discours médiatique officiel répète ab nauseum des affirmations grossières sans qu'aucune voix intelligente ne puisse l'interrompre.

La quête de la vérité est actuellement difficile pour les opposants. Les questions simples comme : les vaccins anti-covid sont-ils dangereux, que contiennent-ils exactement ? Existe-t-il un risque pour le génome humain ? Pire : qu'en est-il du graphène et de possibles interactions avec la 5G ? Ces sujets sont scientifiquement très complexes. La vérité est portée par quelques équipes scientifiques de pointe, publiée dans des revues de renom quoique ... (n'oublions pas le Lancetgate). Il faut souvent être soi-même familier de la discipline pour les comprendre, en outre, ils sont souvent payants, donc non accessibles pour le commun. On pourra cependant déchiffrer l'abstract, en vérifier sa nouveauté et son facteur d'impact.

Il faut privilégier les articles aux vidéos. L'article permet rapidement de remonter aux sources scientifiques. La vidéo n'est en général pas précise sauf lorsque les auteurs ont pris soin de noter leurs sources. Aujourd'hui, on ne peut plus être sûr que la vérité va triompher. Il y a trop d'enjeux.

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• Raoult interviewé par Laurence Ferrari sur CNEWS. Qu'est-ce que c'est con un journaliste.
  

• Ce que Véran n'a pas osé vous dire en face sur le danger du Vaccin. Eric Verhaeghe.

• Aux USA, le vaccin Pfitzer pleinement approuvé par la FDA bien que les tests ne soient pas terminés. ZH. On peut supposer que la pression politique a été montée à son niveau maximum. Les décideurs on sans doute été soumis à des propositions qu'ils ne pouvaient pas refuser. Les initiés ont fait de beaux profits en bourse.
  

• Les Talibans menacent Biden de "conséquences" si l'évacuation déborde au-delà du 31 août (ZH).