Le Bitcoin (BTC) a été conçu en 1999 ... je n'ai pas étudié le processus à son tout début. Il est créé ex-nihilo comme dans un jeu en récompense de la résolution d'un problème mathématique. Les premiers blocs sont hachés, collés les uns aux autres et ce travail appelé minage est récompensé par un avoir de 50 BTC par bloc. Chaque bloc est constitué en 10 minutes. Les premiers mineurs qui ont joué à ce petit jeu ont accumulé un capital BTC, et pour les 210000 premiers blocs, l'ensemble de leurs avoirs représentait 210000 x 50 = 10,5 millions de BTC unité qui ne valait alors pas grand chose. Voyez mes précédents posts (1)(2)(3).
Les choses prenant de l'ampleur, la rémunération du mineur a ensuite été divisée par deux tous les 210000 blocs. Si un bloc est constitué en 10 minutes, 210000 blocs le sont en 210000 x 10 = 2100000 minutes soit 2100000/(60 x 24 ) = ~1458 jours = ~ 4 ans. Le tarif de minage est passé à 25 BTC pour les 4 ans suivants, 12,5 BTC ensuite. Il est actuellement de 6,25 BTC par bloc et nous en sommes à un peu plus de 680000 blocs produits. Le processus de création de nouveaux bitcoins est limitée car
210000 x (50+50/2+50/4+50/8+ etc.) = 210000 * 100 = 21 millions de BTC.
Les mineurs, de moins en moins payés en BTC nominaux se feront rémunérer par les frais de transaction. Noter que si le nombre de BTC par bloc diminue de moitié tous les 4 ans, et si la valeur du BTC échangeable sur le marché en dollars ou en euros fait plus que doubler, l'affaire reste bonne.
Conclusion, la création du Bitcoin a été une bonne affaire dans la mesure où suffisamment de gens y ont cru. Cette "monnaie" anonyme est gérée plus prudemment que les grandes devises qui ont glissé dans la folie de la planche à billets. La quantité de Bitcoins disponible ne dépassera jamais 2,1 millions BTC de par conception.
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2) Le Bitcoin est moderne, mais il n'est pas écolo. Sa "production" nécessite d'énormes calculs informatiques, donc l'utilisation d'un énorme parc de puissants ordinateurs et cela va coûter cher en consommation électrique et en matériaux divers.
Les financiers se sont penchés sur le problème, et voici l'une des réflexions : Ceci est-il la solution au problème de la consommation électrique massive du Bitcoin (ZeroHedge). J'ai traduit une partie de la page de Bloomberg donnée en lien :
Il faut tellement d'énergie pour exploiter Bitcoin que de nombreux investisseurs n'y toucheront pas pour cette raison. One River Asset Management, dont les fonds de crypto-monnaie sont soutenus par le milliardaire Alan Howard, a un plan pour éliminer cette stigmatisation : la neutralité carbone.
One River, qui gère 2,5 milliards de dollars, a développé un système qui calcule le coût du carbone du minage cryptographique et achète des crédits pour compenser l'impact environnemental. Il intègre la neutralité carbone dans ses fonds Bitcoin et Ether existants et prévoit également de demander l'approbation réglementaire pour un fonds négocié en bourse avec les mêmes caractéristiques, a déclaré le PDG Eric Peters dans une interview.
«On parle beaucoup de l'empreinte carbone», a déclaré Peters. "Nous avons décidé qu'il était temps d'arrêter de parler et de commencer à faire quelque chose à ce sujet."
Alors que la SEC (Securities and Exchange Commission des États-Unis) a jusqu'à présent rejeté toutes les demandes de crypto ETF, de nombreux véhicules d'investissement similaires tels que les fiducies sont disponibles pour les investisseurs accrédités.
La même technologie de grand livre distribué qui rend Bitcoin si imperméable au piratage en fait également un porc énergétique. L'Université de Cambridge estime que le minage - la résolution de casse-tête informatisée nécessaire pour vérifier toutes les transactions Bitcoin - consomme environ 144 térawattheures d'électricité par an, plus que l'Argentine. De plus, la consommation augmente avec le prix du Bitcoin, qui a été multiplié par plus de sept au cours de la dernière année pour dépasser 60000 dollars.
Bitcoin grimpe pour enregistrer des records
En raison de cette intensité énergétique, Bitcoin a été largement interdit aux investisseurs qui accordent la priorité au développement durable. Bill Gates fait partie de ceux qui craignent que le minage, en grande partie alimentée par les chinois, accélère le changement climatique.
Bitcoin a également reçu des critiques pour d'autres raisons. De nombreux banquiers centraux s'inquiètent de son rôle en tant que système de paiement dans une économie non réglementée et dénoncent sa volatilité.
One River, basé à Greenwich, dans le Connecticut, est devenu l'un des plus grands acteurs de l'investissement cryptographique en quelques mois seulement. Peters a vendu 25% de son entreprise à Brevan Howard Asset Management en octobre. Puis, en novembre, le cofondateur de Brevan, Alan Howard, a pris une participation dans l'activité d'actifs numériques de One River et a investi de l'argent dans ses fonds Bitcoin et Ether.
Pour que son approche neutre en carbone soit crédible, One River avait besoin d'une méthodologie qui résiste à l'examen des investisseurs institutionnels. Il a développé un indice, BTC.X, basé sur les émissions de carbone estimées par Bitcoin et le prix du marché de la compensation requise.
À l'heure actuelle, cela équivaut à environ 55 $, soit 0,1% du coût de Bitcoin. One River achète des crédits de carbone tokenisés afin qu'ils soient validés sur une blockchain.
Marcel Kasumovich, qui a conçu l'indice en tant que chef de la recherche, a déclaré qu'il s'attend à ce que le coût de la compensation carbone diminue au fil du temps, car les mineurs de Bitcoin recherchent des sources d'énergie moins chères, telles que l'énergie hydroélectrique, l'éolien et le solaire hors pointe ou même le gaz naturel actuellement brûlé par les producteurs de pétrole.
«Ces sources d'énergie seront en grande partie renouvelables», a-t-il déclaré. "Nous parlons de Bitcoin faisant partie de la solution plutôt que du problème."
Kasumovich a travaillé comme stratège pour Goldman Sachs Group Inc., Merrill Lynch et Soros Fund Management, et a contribué à la création de deux fonds spéculatifs. Peters a également fait appel à Sebastian Bea en tant que président de One River Digital Asset Management, en s'appuyant sur son expérience des stratégies d'investissement quantitatives chez BlackRock Inc.
En créant une version plus verte de Bitcoin, One River peut attirer des investisseurs qui l'ont exclu pour des raisons environnementales - et des imitateurs, s'il réussit.
Source : Brevan Howard-Backed Firm Plans Carbon-Neutral Bitcoin Funds
Un monde de plus en plus farfelu, lâche et violent : http://h16free.com/2021/04/23/68483-un-monde-de-plus-en-plus-farfelu-lache-et-violent
Fâcheux lapsus ...
"These vaccines are unlikely to "completely sterilize" a population. Professor Sir John Bell (Vidéo https://youtu.be/IMAkFKprzRQ 1 minute50). Sir John Irving Bell est un immunologiste et généticien canadien. De 2006 à 2011, il a été président de l'Académie des sciences médicales et, depuis 2002, il est titulaire de la Chaire Regius de médecine à l'Université d'Oxford, au Royaume-Uni. Chairman, Global Health Program Advisory Committee de la Bill and Melinda Gates Foundation,... ahh, on comprend tout ! Ce même Bill Gates a parlé de l'usage de la vaccination pour réduire la population mondiale (Conférence TED 2015). On avait déjà parlé de lapsus.
Il reste seulement 3 pays sans banque Rothschild (video Odysee). Source ? je pense que c'est un fake...
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