samedi 27 août 2022

Note de lecture : La religion écologiste

 


"Climat, CO2, hydrogène : la réalité et la fiction" de Christian Gerondeau. Suivi de "Les douze mensonges du GIEC". Du même. Amazon.

Nouvelle religion ou outil de domination oligarchique ?

Ayant démontré préalablement que le GIEC n'est pas, en dépit des apparences, une instance scientifique mais une officine totalement politique, il a été facile de revenir sur les points clés mis en avant par l'organisation et démontrer leur caractère mensonger. Pour faire simple, 

  • l'accès à l'énergie fossile est l'unique porte de sortie des peuples plongés dans la misère, 
  • déterminée par la politique énergétique de la Chine et de l'Inde, la production humaine de CO2 se poursuivra au moins jusqu'à la fin du siècle quoi qu'on fasse, 
  • les énergies intermittentes alternatives ne dépasseront jamais 10% du tout, 
  • la "neutralité carbone" est un leurre qui mène à un gaspillage extravagant de ressources 

et d'ailleurs 

  • le CO2 n'a jamais été un poison, etc. 

Le volume 2 ne fait que simplifier l'argumentaire du premier auquel il n'apporte pas grand chose de plus. Le problème de cette démonstration qui a le mérite d'être très claire, très pédagogique mais souvent redondante, c'est de laisser penser que cette religion écologiste est apparue relativement spontanément au cours des trente dernières années, contaminant d'abord les classes moyennes supérieures et les gouvernements avant de s'imposer partout. Il s'agit en fait d'un projet ancien de l'oligarchie mondialiste, mis en place parmi d'autres (comme l'opération covid) pour soumettre et contrôler la population mondiale et, in fine,  la décimer. A ce titre, l'ouvrage de Pascal Bernardin "L'Empire écologique" (1998), très bien documenté, va beaucoup beaucoup plus loin dans l'analyse. Lire l'un n'empêche pas de lire l'autre.


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mercredi 24 août 2022

Note de lecture : Mondes en collision

 ... d'Immanuel Velikovsky

Cet ouvrage paru vers 1950 a toujours été réédité depuis. L'auteur n'est pas le premier venu : une correspondance avec Albert Einstein et Sigmund Freud est attestée. Son idée est la suivante : les descriptions étranges de l'ancien testament et de nombre d'anciens textes religieux ne sont pas des métaphores mais elles se réfèrent à d’authentiques cataclysmes survenus à notre planète au cours des tous derniers millénaires. Leur cause première serait la collision entre Venus, alors une comète, Mars et la terre. Les planètes qui orbitent toutes dans le plan de l'écliptique peuvent donc se rencontrer et de fait, le système solaire ne se serait stabilisé que très tardivement. L'axe de rotation de la terre aurait ainsi basculé plusieurs fois causant d'épouvantables tsunamis. Le déluge, mais aussi l'observation d'anomalies dans la rotation apparente du soleil (Josué) et la variation de la durée du jour et de l'année rapportée par la bible s'expliqueraient ainsi. L'auteur connaît très bien les textes anciens et l'ouvrage est illustré d'un nombre très important de notes de bas de pages détaillées dont on peut vérifier la justesse et la validité. On peut rapprocher cet écrit de la petite étude de Thomas Chan (The story of Adam and Eve, 1965) qui part de la même idée mais donne d'autres causes au basculement de la croûte terrestre. Ce travail donne une impression de sérieux, mais sans discussion scientifique approfondie avec l'aide de spécialistes, il est difficile de dire ce qu'il vaut effectivement. 

J'avais initialement écarté cet auteur pour sa non compétence en astrophysique, mais son approche érudite et précise des vieux textes mérite le détour.

Note de lecture : le débat interdit

 


Les covido-sceptiques qui ont passé beaucoup de temps sur la question sont  exigeants. Ce livre les satisfera cependant pour sa contribution sur un certain nombre de points. D'abord le mauvais usage de la science est bien mis en lumière. De mauvais scientifiques de l'Institut Pasteur sont partis de l'idée qu'il était possible de modéliser les interactions hommes-virus par de la statistique basique - même si leurs modèles sont compliqués - comme si l'on avait à faire à de simples molécules dans des théories gazeuses. Cette déshumanisation théorique s'est ensuite traduite dans le langage courant selon un modèle qui avait déjà été présenté dans l'essai brillant de Victor Klemperer sur la langue du IIIème Reich. On n'en est pas resté là, de ce langage détourné, on est passé à l'imposition autoritaire d'une politique délirante, délétère pour ne pas dire létale. Ce mécanisme a été passé au peigne fin par les auteurs. On saute du covidisme au nazisme sans se laisser influencer par d'hypocrites dénonciations d'atteintes d'un point de Goldwin. D'autres points restent dans l'ombre : comment expliquer l'aspect mondial de l'opération ? par la coordination OMS, WEF et par  le rôle des fameux cabinets de conseils ? D'autres opérations douteuses de grande envergure sont en cours au même moment :  celles sur le climat et sur la confiscation de la monnaie. Manifestement, il y a plus de monde dans les coulisses qu'on veut bien le dire. Le covid est une arme parmi d'autres dirigée contre les peuples. Il faudrait pousser l'analyse plus loin que cet essai, mais c'est un bon point de départ.

Ariane Blilheran et Vincent Payan. Le débat interdit. Langage, covid et totalitarisme.

samedi 20 août 2022

Oligarchie ou patriarcat ?

Le communisme n'existe plus, le capitalisme disparaît. il suffit de voir l'acharnement avec lequel l'oligarchie détruit l'économie avec trois outils puissants : l'opération Covid, la guerre contre la Russie et la religion écologiste. Batiushka nous a pondu un court mais intéressant article qui remet les choses à leur place : https://lesakerfrancophone.fr/oligarchie-ou-patriarcat-regle-par-la-minorite-ou-regle-pour-la-majorite ...

mercredi 10 août 2022

Note de lecture : la pelote de laine

 


Ce livre de Matthieu Biasotto témoigne de la curiosité d’un internaute qui cherche à comprendre l’actualité un peu plus profondément que l'image donnée par la sauce habituelle des médias subventionnés. Peu d’originalité : c’est ce que font aujourd’hui tous les dissidents, mais le travail est ici plutôt bien fait et assez complet. Au centre de la recherche, on trouvera sans surprise l’opération covid, puis l’opération prétendue "lutte contre le réchauffement climatique" qui vient juste derrière. La pelote de laine est une jolie métaphore. Lorsqu’on tire sur le fil, tout finit par venir et l’on fait de belles découvertes. Ce livre devrait d’abord être lu par les « anti-complotistes », mais ce sont malheureusement surtout ceux-là qui n’auront pas le courage de l’ouvrir. Les centaines de références mises à nues par l'auteur sont données par son site afin que chacun puisse vérifier par lui-même.

mardi 9 août 2022

On a marché sur la lune

Je reviens sur ma série d'articles de juillet-août 2019 consacrée au sujet avec cet article d'Alexandre Onoprienko Pourquoi le projet spatial Apollo était une illusion.  Lorsqu'un un État base sa propagande sur un gros mensonge et que ce mensonge met en cause comme ici tout programme spatial ultérieur, il y a un problème majeur. Dans le cas de la mission Apollo, le black-out aurait été négocié avec les soviétiques qui étaient très en avance sur la NASA dans le domaine. Ils savent, donc et ne diront rien pour l'instant. Restent les chinois ou les indiens qui ne sont obligés à rien. Et maintenant qu'est-ce qu'on fait ? La lune est l'étape obligée avant l'étape suivante (Mars, notamment). La difficulté est la traversée des ceintures de Van Allen. La simulation les a zappées. Pour débloquer la situation, il faut résoudre ce problème majeur puis expliquer au monde comment on a pu l'ignorer il y a plus de cinquante ans sans dommage pour les astronautes qui seraient passés au travers. Le problème technique se double d'un problème de com.         

Rappel : voir le documentaire American Moon, de l’Italien Massimo Mazzucco