mercredi 18 septembre 2019

L’antiracisme, idéologie d’État.

Avant de parler de l’antiracisme, il faut définir le racisme, ou plutôt le racialisme. En effet, si le racisme est un comportement, le racialisme est une idéologie. Les deux termes sont liés, le racialisme induisant le racisme. Wikipédia présente les définitions diverses du racialisme (selon un point de vue anti-racialiste).
Le racialisme est bien illustré par l’ouvrage classique de Gobineau, ‘Essai sur l’inégalité des races humaines’ (1855) où tout est dit dans le titre : il existe des races au sein de l’espèce humaine, et elles sont inégales. La prose de l’auteur est extrêmement élégante, mais son raisonnement n’est pas très scientifique.

L’antiracisme contemporain n’est pas une simple négation  théorique ou académique du racialisme, mais une politique aux vastes répercussions pleines de non-dits. Elle est peut-être l’un des axes le plus fort de la politique de l’UE.

Décliné localement, cela donne le discours suivant : il n’y a pas de races (le mot a été supprimé de la constitution), les différences physiques et psychologiques des peuples sont superficielles et secondaires. Toutes les cultures se valent, toutes les civilisations se valent (il n’y en a pas de ‘grandes’ et de ‘petite’), on peut donc mélanger les peuples sans problèmes.

Chez nous, pour faciliter le mélange, la culture, les traditions et l’histoire française, obstacles à l’intégration doivent être effacées autant que faire se peut. Les frontières doivent être poreuses de façon à permettre le passage des illégaux sans avoir à le reconnaître. Tous les moyens matériels doivent être donnés aux nouveaux arrivants (logement, travail, couverture sociale …) lorsque c’est possible, les ‘associations’  jouant le rôle d’intermédiaires, sinon, tant pis, hein ? Ils se démerderont dans les squats ou les campements de fortune.

Les ‘problèmes’ causés par ces arrivants doivent être minimisés ou masqués au public de façon à éviter toute réaction de rejet de la part de ce dernier. Les statistiques se feront discrètes et la justice saura se montrer compréhensible en cas de conflit. Les médias sont mis à contribution (mais leur réactions sont parfois ambiguës pour de simples raisons d’opportunisme politique : il peut être avantageux de tenir un discours ponctuellement raciste pour ratisser large en cas d’élection). En général, en matière d'antiracisme, c'est souvent le mâle blanc qui se retrouve désormais cloué au pilori en cas de protestation. Il est pourtant interdit de parler de racisme anti-blanc, ce serait un oxymore.

Telle est la position antiraciste de notre gouvernement et des autorités de l’UE.

Côté migrants, on peut comprendre les motivations soutenant des voyages aussi risqués. Pour résumer : Les pays d’origine sont souvent ravagés par les groupes terroristes (financés, armés par les monarchies du Golf amies des USA et de la France), les guerres tribales et racistes (fomentées par les multinationales), le pillage des richesses naturelles (par les mêmes), l’installation de dictatures ‘amies’ (des mêmes), pays affligés en outre d’une natalité galopante non maîtrisée. Les élites - surtout des hommes jeunes - fuient donc leur patrie et ce faisant contribuent un peu plus au désastre qu’elles laissent derrières elles. Elles sont temporairement prises en charge par les passeurs de réseaux mafieux grassement rétribués qui leur ont fait miroiter les mirages du modèle social occidental et les petites européennes promues proies faciles à baiser. Puis les navires des ONG  les attendent pas loin de là pour les remettre en mains sûres et les aider à accéder un jour au Saint Graal :  la citoyenneté européenne. Entre les deux, il y a le risque de boire la tasse et d'y rester, mais tout est fait pour le minimiser. C'est une affaire de chance, comme au Loto.

Conclusion : l’occident et ses alliés - les gouvernements et les multinationales, pas les peuples – ravagent et pillent des pays entiers par appétit du profit rapide. Ils en chassent la petite fraction la plus éduquée vers l’occident et principalement vers l’UE ou l’Angleterre. Cette migration  partielle n’arrange nullement la situation du pays d’origine qui demeure au contraire, une zone misérable ravagée et pillée. Rien n'est résolu sur le fond et rien ne le sera si on conserve la même méthode.

Ensuite, les mêmes, à savoir les dirigeants occidentaux, leurs ONG, leurs médias, leurs intellectuels bien pensants, mènent un vaste politique ‘antiraciste’ pour imposer aux populations locales indigènes un flux d’allogènes plus ou moins intense présenté sans preuves comme une 'chance' pour le pays. Au milieu de cette masse, des psychopathes obnubilés par l'arme blanche, des terroristes, mais il faut faire avec. Le prix à payer est exorbitant pour une économie dont la dette atteint déjà 100 % du PIB, mais il comporte surtout un rabaissement suivi d’un effacement de notre culture, de nos traditions, de notre mémoire et une dilution ethnique dont le discours antiraciste arrive à point nommé pour en nier toute gravité et toute intention de ‘grand remplacement’. Dormez donc braves gens. Tout va bien puisqu’ils nous le disent...


D'autres miscellanées

Objectif tuer la France. Comment et pourquoi. Article d'Alain Benajam    : http://www.alain-benajam.com/2016/09/objectif-tuer-la-france-comment-et-pourquoi.html

Communiqué de presse du 21 juin 2017 ; c'est du réchauffé. Vaccin contre l'hépatite B et sclérose en plaque : alerte de la cours européenne de justice :  https://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2017-06/cp170066fr.pdf  




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.