Etat de l'art pour l'industrie spatiale américaine en 2020

Un gros rapport de 86 pages  : http://aerospace.csis.org/wp-content/uploads/2020/07/State-of-the-Space-Industrial-Base-2020-Report_July-2020_FINAL.pdf

Parmi les projets un peu fous, noter le projet 'araignée' SSPIDR (Space Solar Power Incremental Demonstrations and Research) de l'Air Force Research Laboratory (AFRL) pour 2024. Ce projet consiste à mettre un énorme panneau solaire sur orbite et envoyer par faisceau électromagnétique convergent l'énergie captée sur un point de la surface terrestre.

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Mais la Chine pourrait bien damner le pion aux USA dans le domaine spatial d'ici 2030 (ZeroHedge). Quant à l'UE ... l'UE ... peut-on en rire ?

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Les transhumanistes lucifériens rêvent de faire de l'homme ... enfin des membres de l'élite ... un dieu immortel, mais ils verront vite qu'une limite naturelle s'impose à leur projet à moins qu'ils passent le relai à des robots. Mais ce ne seront plus des humains mais des machines. ZeroHedge... et référence à un article de Nature de Pyrkov et al. : Longitudinal analysis of blood markers reveals progressive loss of resilience and predicts human lifespan limit

(Abstract) Nous avons étudié les propriétés dynamiques des fluctuations de l'état de l'organisme le long des trajectoires de vieillissement individuelles dans une grande base de données longitudinale de mesures de CBC [Complete Blood Count] d'un laboratoire de diagnostic de consommation. Pour simplifier l'analyse, nous avons utilisé une estimation log-linéaire de la mortalité à partir des variables CBC comme mesure quantitative unique du processus de vieillissement, désormais appelée indicateur d'état dynamique de l'organisme (DOSI). Nous avons observé que l'élargissement de la distribution DOSI de la population en fonction de l'âge pouvait s'expliquer par une perte progressive de résilience physiologique mesurée par le temps d'auto-corrélation DOSI. L'extrapolation de cette tendance a suggéré que le temps de récupération et la variance de DOSI divergeraient simultanément à un point critique de 120 à 150 ans correspondant à une perte complète de résilience. L'observation a été immédiatement confirmée par l'analyse indépendante des propriétés de corrélation des fluctuations des niveaux d'activité physique intra-journalière recueillies par les appareils portables. Nous concluons que la criticité entraînant la fin de vie est une propriété biologique intrinsèque d'un organisme indépendante des facteurs de stress et signifie une limite fondamentale ou absolue de la durée de vie humaine.