samedi 28 mars 2020

Coronavirus : une dystopie

Un tour d'horizon des titres de ZeroHedge illustre bien le monde totalement dystopique vers lequel nous nous avançons
Lutter contre le Coronavirus ET contre la reconnaissance faciale ...
L’État policier -comment l'appeler d'un autre nom- utilise tous les moyens à sa disposition pour augmenter ses pouvoirs de confinement [Ref]. Le 'Big Data' sera employé sans retenue pour contrôler l'application de la quarantaine partout [Ref] (on sait maintenant que Orange va prêter son concours à l'UE pour aller dans ce sens [Ref]), et il ne faut guère se faire d'illusions : une partie de ces mesures survivront à la pandémie (E. Snowden) [Ref]. Lorsqu'un État grappille des pouvoirs sur ses citoyens pour une raison bonne ou mauvaise, il a de la peine à les rendre ensuite ; cette règle a toujours été vérifiée. Voyez le 11 septembre. Le rationnement (censure) d'internet à grande échelle n'est plus totalement impossible [Ref]. Le Coronavirus met en lumière des aspects bien dégueulasses de cette société [Ref] mais, heureusement, il montre aussi d'immenses réserves d'héroïsme dans une partie de la population. Derrière les gesticulations des dirigeants, un ordre mondial totalitaire pointe son nez [Ref]. C'est un vieux projet oligarchique [Ref]. Naturel ou fabriqué, le Coronavirus lui donne enfin l'occasion ou jamais : seul le gouvernement mondial peut vous sauver nous dit-il. En même temps, la pandémie met à mal le libéralisme et la mondialisation de l'économie. Les mondialistes n'ont pas encore gagné.
Les mesures coercitives pourront s'accompagner de traitements sociologiques qu'on n'aurait jamais imaginés il y a encore dix ans : l'accès massif à la pornographie pour rendre le confinement supportable. Une firme américaine de robots sexuels propose même des 'poupées antibactériennes' à ses clients [Ref]. Quel Progrès !
  

Machine de Rube Goldberg : Joseph's machine. https://youtu.be/auIlGqEyTm8

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