Pendant ce temps, au procès de Gislaine Maxwell

Le manque d'intérêt de la presse française  pour l'affaire Epstein a toujours été constant et étonnant. Quand on connaît le nombre de personnalités notables recensées dans les "carnets noirs " de Jeffrey Epstein, on voit de suite qu'il s'agit d'un gros morceau. G. Maxwell joue la carte de la victime mais il est possible que ce soit elle qui ait recruté son compagnon pour le MOSSAD. Parmi les personnalités mouillée, Bill Gates. Les milliards de celui-ci suffiront-ils à le mettre hors d'atteinte de la justice ?

« Partenaire dans le crime » : l'accusation de Maxwell s'ouvre avec des détails sordides sur la prédation sexuelle d'Epstein (ZH)

Mise à jour (1615ET) : L'accusation a ouvert son dossier contre Ghislaine Maxwell lundi, commençant par une histoire troublante sur la façon dont le mondain britannique et pédophile condamné Jeffrey Epstein a recruté des victimes mineures pour prédation sexuelle.

Comme Matthew Russell Lee a blogué pour Inner City Press :

AUSA Pomerantz : L'homme et la femme étaient des prédateurs. Jane n'était pas leur seule victime. Il y avait d'autres jeunes filles. Qui était cette femme ? C'était la prévenue, Ghislaine Maxwell. L'accusé a emmené ces filles faire du shopping et a gagné leur confiance. Elle a parlé de sexe

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AUSA Pomerantz : Il y a eu des moments où elle était dans la pièce quand c'est  arrivé. C'est pourquoi nous sommes ici aujourd'hui. Entre 1994 et 2004, la prévenue a exploité sexuellement des jeunes filles. Elle s'en est pris à elles et les a servis pour qu'elles soient agressées sexuellement. Elle trafiquait des enfants à des fins sexuelles. Il possédait un ranch au Nouveau-Mexique, un appartement à Paris, un manoir à Manhattan, Palm Beach, une île privée. Epstein a des avions privés et des pilotes. L'accusé a pu profiter de ce luxe avec Epstein.

L'accusé était la maîtresse de maison. Elle imposait des règles. Les employés ne devaient rien entendre, ne rien voir, ne rien dire. Il y avait une culture du silence. C'était à dessein. La conception du défendeur. Ils avaient un livre de jeu : accéder, gagner la confiance. Ils ciblaient souvent les filles de mères célibataires, luttant pour joindre les deux bouts. Ils ont fait en sorte que ces filles se sentent vues. Mais c'était une couverture.

Pour amener les filles à toucher Epstein, elles ont utilisé la couverture du massage. L'accusée a massé Epstein puis a dit aux filles de le faire. Epstein amenait des filles dans sa salle de massage tous les jours. C'était un abus sexuel. Avant de décrire ces soi-disant massages, permettez-moi de dire : ce sont les faits. Epstein a touché les adolescentes avec du matériel... Il a parfois pénétré... L'accusée a aidé Epstein à trouver ces filles, pour des soi-disant massages. Ils ont attiré leurs victimes avec la promesse d'un avenir meilleur, puis ont détruit leur vie. Le prévenu faisait de la jet-set dans des avions privés.

Alors qu'est-il arrivé à Jane ? Vous entendrez parler d'elle. Quelqu'un du bureau d'Epstein l'a invitée chez celui-ci. Il a dit à sa mère qu'il lui offrait une bourse. Jane avait 14 ans - une enfant. Epstein était au début de la quarantaine, l'accusée au début de la trentaine. Jane s'est rendue à New York dans le manoir d'Epstein, où il l'a maltraitée. Elle n'était pas la seule. Vous découvrirez plusieurs filles au cours de cet essai. Vous découvrirez une jeune fille de 16 ans qui s'est rendue au ranch au Nouveau-Mexique.

L'accusée a dit à la fille qu'elle allait lui faire un massage. Mais elle l'a touchée ailleurs. La fille avait 16 ans. Il y a une jeune de 17 ans, aperçue dans un parking. Le chauffeur s'est arrêté. [Maxwell met ses lunettes et prend des notes]

Ils sont allés au-delà des bourses et sont passés à un système pyramidal d'abus. Ils ont encouragé les filles à amener d'autres filles, pour de l'argent supplémentaire. L'accusé savait exactement ce qu'elle faisait. C'est ce que nous attendons des preuves. Vous entendrez parler d'un fonds qui a versé des millions aux victimes de Jeffrey Epstein. Mais vous apprendrez que ces victimes auraient payé n'importe quoi pour que cela ne leur arrive pas. Vous entendrez des proches. Vous entendrez les membres du personnel.

L'avocat de Maxwell, Bobbi Sternheim, a ensuite pris la parole - en commençant par : "Depuis Eve, les femmes sont blâmées pour les méfaits des hommes. Ghislaine Maxwell n'est pas Jeffrey Epstein ni aucun des autres hommes, magnats et géants des médias qui maltraitent les femmes."

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Inutile de dire qu'il semble que ce procès portera sur des réclamations contre Epstein et Maxwell contre les avocats de Maxwell jetant le doute tout en essayant de présenter Ghislaine comme une sorte de victime elle-même. Restez à l'écoute...

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Suite sur Zero Hedge.

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• L’Italie met en place un "super pass sanitaire". Amendes renforcées en cas de manque. Le dépistage négatif ne suffira plus. CdS. La dictature est mondiale. Sénateurs et députés ne sont pas concernés.