La bataille de l'énergie

On ne peut pas raconter n'importe quoi lorsqu'il s'agit de parler de l'énergie. L'énergie, ce sont des Joules ou des kWh, peu importe l'unité employée. Toute économie moderne en a besoin pour fabriquer et transporter des biens consommables entre un producteur et un consommateur éloignés de l'autre, et plus basiquement pour se chauffer. En matière climatique, le froid tue plus sûrement que le chaud.

Pour l'instant, il n'y a pas trente-six manière de produire massivement de l'énergie en dehors du charbon, des hydrocarbures et du nucléaire. Le reste, c'est peanuts, et c'est même zéro en l'absence de soleil ou de vent. Vous pouvez mettre les taxes et les subventions que vous voulez où vous voulez, ça ne changera rien. C'est de la physique, crétins !

Ensuite, la Russie et l'Iran ont du gaz, les États du Golf et les USA du pétrole même s'ils en ont de moins en moins et de mauvaise qualité pour les second, la France a son nucléaire. Comme aux cartes, certains ont de gros atouts, d'autres ont les brèles. Ceux qui n'ont que des brèles et qui font les malins au poker vont se retrouver tout nus et vont avoir très froid l'hiver. 

Je transcris le passage du article de Tom Luongo sur le site du Saker : https://lesakerfrancophone.fr/crise-energetique-europeenne-et-cest-du-gaz-que-vous-pensez-bruler

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Il n’y a pas d’Agenda 2030 à l’horizon si les Allemands meurent de froid dans leurs maisons ou sont décimés par la COVID-11/09 parce qu’ils n’ont pas les moyens de chauffer leurs maisons.

Cela écrasera la France et Macron, renversera le Davos lors des mid-terms ici aux États-Unis et brisera l’Union européenne dans le processus.

L’Allemagne est la clé de voûte de tout l’édifice du Davos. Sans une Allemagne docile et battue, il n’y a pas de Grand Reset. Une Allemagne qui rompt avec l’euro devient une Allemagne qui se réaligne sur la Russie et l’Europe de l’Est. C’est une Allemagne qui n’est plus obsédée par le mercantilisme européen interne et l’établissement du Quatrième Reich par le biais de l’UERSS.

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A bon entendeur : frexit, vite !

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