lundi 7 septembre 2020

Covid-19 : une tentative de synthèse

 

Introduction
Sept mois après le début d’une crise sanitaire qui impacte fortement nos vies et nos libertés, il semble désormais possible d’établir une synthèse de l’évènement. Partie de Chine (qui a réglé prestement le problème chez elle), la crise de la Covid me fait lourdement penser à la 4ème arme de destruction massive de la société occidentale créée par l’oligarchie mondiale depuis la fin de la guerre, les trois autres étant
- la révolution arc-en-ciel (LGBTiste, féministe, antiraciste) relâchée en 1968 – C’est un vieux projet -, dont le déploiement complet n’est vraiment apparu en Europe qu’au cours des dix dernières années.

- l’islamique radical lâché à partir du début des années 70 sous l’égide étasunienne. C’est une arme multifonction dont l’effet principal aura été cependant la destruction de plusieurs petits pays [islamiques] après 1990. En tant que victimes directes, nous n’arrivons qu’au second rang.
- l’endettement des États créé à la même époque sous l’impulsion de la FED et plus récemment de la BCE par la confiscation définitive du pouvoir de création monétaire des anciens États souverains.

Parmi les buts de ces trois mouvements figuraient et figurent encore la destruction de l’identité nationale, civilisationnelle (historique, culturelle, familiale, religieuse) de l’occident,  la dépossession du pouvoir des États nationaux au profit d’entités cosmopolites et la dissolution des peuples européens au sein de populations allogènes importées, populations principalement africaines et in fine l’installation d’une gouvernance mondiale dominant une humanité réduite[1] et soumise. Ce dernier objectif qui est longtemps apparu comme complotiste l’est de moins en moins puisqu’il est reconnu benoîtement par un nombre croissant d’intéressés au premier chef [1]. Que ceux qui ont des oreilles entendent !

Là dessus, la crise de la Covid apporte sa contribution particulière au projet mondialiste sous la forme d’installation d’une dictature policière et sanitaire globale ainsi que l’affaiblissement drastique des rapports sociaux (confinement, distanciation, masquage).

Les armes utilisées contre les peuples sont tenues par des entités mondialistes ; c’est particulièrement visible pour la crise Covid si l’on considère notamment les rôles de l’OMS, des majors de l’industrie pharmaceutique, du World Economic Forum (WEF) et des GAFA (et plus accessoirement de la BMGF). Dans l’affaire, la soumission des gouvernements est évidente : ils jouent le rôle de gauleiters pour des maîtres plus discrets.

Revenons à la Covid

Dans la famille Coronavirus …

Les coronavirus constituent une grande famille de virus de maladies respiratoires qui ont sans doute toujours existé. On en parle simplement plus aujourd’hui. Ils sont la cause de grandes épidémies plus ou moins graves. Le cas de la Covid-19 se situe dans la moyenne haute d’un point de vue létalité mais demeure à son pic d’une virulence comparable à celle d’une grosse grippe. Rien à voir avec la grippe espagnole de 1919, ni avec les épidémies de peste et de choléra d’antan.

Deux types d’entités s’intéressent de très près à ce genre de virus. D’une part les grands États qui considèrent que ce sont de bons candidats pour développer une arme biologique, d’autre part les laboratoires pharmaceutiques qui déposent une grande quantité de brevets sur les vaccins  et les tests de dépistage avec lesquels ils font leur beurre tout du moins pour ce qu’on peut en savoir. Concernant les armes, c’est rigoureusement interdit par les conventions internationales, donc il faut être discret. Les USA qui ont longtemps pratiqué ce genre de cuisine ont fini par fermer « Fort Detrick », l’officine dont était sortie l’attaque à l’Anthrax de 2001. Ils maintiennent en revanche 25 laboratoires P4 dans le monde. Quitte à produire de la merde, autant le faire chez les autres. Ainsi, le laboratoire P4 de Wuhan a été financé tant par les USA que par la France [1].

Gageons que l’origine exacte du Covid-19 ne sera jamais connue : il y a trop d’intérêts en jeu ! De ce point de vue, ça ressemble au 11 septembre. Il semblerait cependant que des coronavirus circulaient aux USA et en Italie avant l’éclosion de Wuhan. Était-ce les mêmes ? Par ailleurs, l’origine humaine du virus peut parfaitement être envisagée : taxer Montagnier de gâtisme ou de complotisme est trop facile [1][2][3]. Toutes les hypothèses peuvent être envisagées : relâchement accidentel au niveau du laboratoire chinois, relâchement volontaire par les américains lors des jeux militaires mondiaux qui se sont tenus à cette époque, on ne saura jamais. L’origine naturelle au niveau du marché humide de Wuhan ne semble cependant plus guère faire recette bien que ... [1]

Noter que les propriétés épidémiologiques du virus étaient très mal connues début 2020. On nous aura donc raconté tout et son contraire. On a assisté ensuite une avalanche de publications « scientifiques ». Tout scientifique sait qu’une publication digne de ce nom met plusieurs mois et souvent un an pour sortir à dater de l’envoi du manuscrit à la revue. De la publication qui sort en rafale au bout d’un mois ou deux ne peut donc qu’être de la mauvaise science… ou de la mauvaise politique.

Le rôle douteux de l’OMS

 L’OMS, c’est déjà un peu le ministère de la santé d’un État mondial qui n’existe pas encore. Je ne veux pas douter qu’une partie de son activité soit parfaitement utile, mais il ne m’en semble pas moins que sa gouvernance conserve une bonne part d’ombre.  Tedros Adhanom Ghebreyesus son Directeur Général est bien controversé. Voyez son CV d’ancien leader gauchiste affilié à une organisation taxée de terrorisme [1]. Je ne suis pas gêné que ce ne soit pas un médecin. A ce niveau là, ça ne peut être qu’un politique.  Mais quel politique pour quelle politique ? Ça ne peut être qu’un exécutant, mais au service de qui ? On parle de l’homme des chinois [1]. Mais les chinois ont tiré le trait sur la Covid. Ils ont fait la fête à Wuhan et sont passés à autre chose. L’OMS ne l’a pas fait. Ou alors c’est plus malin : les chinois savent que la poursuite de la politique sanitaire va affaiblir encore davantage les économies occidentales et ça fait leur affaire.

L’OMS, grosse bureaucratie, gros budget ($4,5 milliards/an). Ses contributeurs : les États membres (51%) à commencer par les USA, des organisations philanthropiques dont la BMGF (Bill & Melinda Gates Foundation)[1], des organisations et banques de développement, des ONG, des partenariats et enfin très peu Big Pharma pour être juste. L’actualité a mis en lumière les conflits d’intérêts de l’OMS avec ceux de B. Gates. Ceci est bien documenté sur internet, je n’y reviens pas. D’autres conflits d’intérêts peuvent apparaître : voyez notamment les injonctions du FMI à l’encontre du gouvernement thaï. Suivre les recommandations drastiques de l’OMS dans les écoles vaut condition pour obtenir un prêt alors que le pays a peu été touché par le virus.

L’OMS est apparu comme un maître d’orchestre mondial dès le début de l’épidémie. La partition a été chaotique, peu importe. De nombreux États ont nommé des comités « scientifiques » qui ont servi d’alibi aux politiques pour faire appliquer les recommandations contradictoires de l’OMS. Ceci aura permis aux gouvernements d’instaurer une dictature sanitaire policière en pouvant arguer : « c’est pas moi, c’est eux ! ».

En résumé : des tireurs de ficelles cachés agitant le guignol de l’OMS, des gouvernements trop contents d’appliquer des consignes autoritaires exceptionnelles et des citoyens masqués, terrorisés, obligés de se plier à des contraintes inédites à cette échelle dans l’histoire de l’humanité. Et vous trouvez ça normal ?

L’imposture des chiffres

Une épidémie pour ne pas dire une pandémie, par définition, ça rend très malade et ça tue. Si 50 % de la population ne se retrouve qu’avec un rhume, ça ne fait pas une épidémie. En France, en avril, on mourait beaucoup : 500, voir 1000 morts par jour rien que pour la Covid, enfin c’est ce qu’on nous a dit. Au départ, le site du ministère donnait explicitement le nombre de gens hospitalisés, en réanimation, décédés et guéris. 30000 morts début mai pour 65 millions d’habitants soit 0,046 % de décès. Ça n’est pas la peste noire ! Masques interdits – évidemment, on n’en a pas - , peu de tests de contamination – on n’en a pas davantage - , confinement pour tous, malades et bien portants mélangés et frontières ouvertes. Une grosse bosse sur les courbes de mortalité de l’INSEE se superposant aux 165000 morts par an, 13750/mois, 452/jour en moyenne, bon an, mal an, toutes causes confondues. Il me tarde de voir le chiffre cumulé du 31 décembre. On risque d’avoir une surprise.

Mi-mai, pouf, pouf, c’est fini. Les nombres des malades en réanimation et ceux des morts sont retombés comme un soufflet. Ça va donc stagner pendant des semaines autour de 20 morts Covid par jour. 20 morts pour 100 départements. 1 mort par département tous les 5 jours en moyenne. C’est peut-être con pour l’intéressé, mais parler ici d’épidémie devient une belle imposture. On a pu vérifier au passage que la fête de la musique, BLM et les diverses petites sauteries de l’été sans distanciation ni masque ne se sont pas traduites par le moindre pic statistiquement significatif sur la courbe de mortalité. Les gens sérieux disent que la « charge virale » ou la virulence est tombée, mais ces termes sont censurés dans le discours officiel.

Bonne nouvelle : les masques arrivent donc ils deviennent obligatoires. Et les tests arrivent aussi donc on va tester à tour de bras.  Et comme on n’a plus ni morts ni malades entrant en réanimation à se mettre sous la dent, on – c’est à dire les médias (France-Intox, BFMWC, etc.) et le ministère de la Santé et de la Propagande – va désormais faire ses choux gras sur les « cas » de contamination abusivement présentés comme des malades mêmes s’ils sont asymptomatiques, et les « clusters ». Ah oui, les clusters. Il est clair que ces gens attendent avec impatience la « deuxième vague » pour justifier leur connerie.

Donc. Vous avez vu, on a changé les définitions ! Avant mai, l’épidémie, c’était surtout les morts qui comptaient, maintenant ce sont les « cas » et le virus qui « circule ». Moi aussi je circule malgré mon grand âge. Et sans masque ‘anti-135 euros d’amende’ lorsque c’est possible.

Conclusion partielle : triste statistique. Dans ‘statistique’ il y a ‘state’. La statistique est un outil idéologique de l’État.
Ref.[1]

Masques, Hydroxychloroquine et PCR

Sur les masques. Si l’on peut penser que la littérature récente sur la Covid contient un gros paquet d’âneries, celle, ancienne portant sur l’utilité des masques est plus significative. Elle est significative parce qu’elle n’a pas été contrainte et influencée par la politique récente impulsée par l’OMS [1]. Ce que j’en ai lu montre sans ambiguïté qu’il est peu efficace pour protéger des virus. Maintenant, je ne doute pas que les trolls au service du système auront fait dans l’urgence au cours des derniers mois le nécessaire pour nuancer les résultats anciens.

Une petite expérience m’a cependant paru instructive, à savoir celle qui utilise un vapoteur pour créer et visualiser le flux d’aérosol sortant du masque à l’expiration. Évidemment, tout sort par les côtés ! Donc si le porteur de masque croit protéger les autres de ses gouttelettes infectées, il se fait de grosses illusions. La méthode n’est malheureusement pas utilisable pour le flux entrant, à l’inspiration. Là, il faut fabriquer un dispositif de mesure ad-hoc. D’autres ont mesuré le taux de CO2 sous le masque en régime stationnaire. On peut arriver facilement à 10000 ppm, ce qui reste tolérable 1/4 d’heure à l’occasion mais devient certainement dramatique 8 heures par jour et 5 jours par semaine [1]. Mauvais pour le système immunitaire. Et je ne parle pas des champignons ! [1]

Le rôle néfaste du port prolongé du masque est bien documenté sur internet. Le masque chirurgical n’a jamais eu d’autres destination que son usage professionnel. Sibeth N’Diaye dont on s’est beaucoup moqué lorsqu’elle nous a expliqué les difficultés soulevées par son utilisation (et justifiant son interdiction) avait raison même si ce propos trouvait alors sa cause dans l’absence de stocks !

En résumé, le masque est inutile et dangereux, mais il porte également en lui toute une symbolique de soumission à un ordre luciférien qui ne sera pas développée ici.  [1][2]
Ref. intéressantes [1][2][3][4][5][6][7]

Sur l’hydroxychloroquine, on peut faire la même remarque que pour les masques. Les publications scientifiques anciennes qui ont été produites dans une époque plus calme que l’actuelle, loin du combat politique fiévreux mené par les nervis de l’OMS et de Big Pharma, ont plutôt mis en évidence les qualités de ce médicament connu depuis très longtemps et archi-utilisé sans relever pour autant de toxicité particulière lorsque sa posologie est bien adaptée [1][2]. Il est prudent de se méfier de tout ce qui se publie actuellement parce que nous vivons au milieu d’une bataille politique intense à un niveau planétaire, un conflit inconnu jusqu’à ce jour.

Le plus étonnant aura été d’ailleurs de découvrir la véritable rage – pour ne pas dire la haine - des agents du parti de Big Pharma contre l’hydroxychloroquine, objet médiatisée par l’intermédiaire du professeur Raoult, rage qui s’est matérialisée par la redéfinition de ce médicament traditionnel comme poison et son interdiction temporaire mais intempestive après la publication de l’article mensonger du Lancet[1][2]. Nous sommes bien immergés ici dans le politique et non dans le sanitaire.

La PCR ou Polymerase Chain Reaction est une procédure compliquée que son inventeur n’avait pas explicitement prévue pour en faire un test d’infection. Elle procède par une suite d’ « amplifications » [exponentielles] des traces de chaînes d’ADN ou d’ARN prélevées chez le patient. Le nombre de cycles jugés utiles pour récupérer un résultat est arbitraire, la détermination  du niveau final discriminant « infectés » et « non infectés » l’est aussi. Le test,  donnera donc tous les faux positifs que l’on voudra. Ça n’est pas de la science mais un bricolage habile. C’est devenu l’outil principal sur lequel s’appuie la dictature pour faire gober à tous sa nécessité. La PCR ressuscite une menace fantôme beaucoup plus efficace que celle d’Al Qaïda en son temps. [1][2][3][4][5]

La dictature et sa propagande

Il est difficile de vérifier si l’ensemble des MSM (main stream medias) colporte la propagande officielle du système. Un travail systématique de vérification serait mortifère. D’après ce que j’entends ça et là, c’est chose probable. N’ayant pas le télévision, je me contente de prendre brièvement la température idéologique de France Inter aux journaux de 7h00 et 19h00 sans dépasser 1/4 d’heure d’écoute. Faire davantage serait insupportable. Je vérifie jour après jour la bien pensance uniforme de ses « journalistes » arc-en-ciel, pro-régime à l’intérieur, pro-UE et pro-OTAN à l’extérieur et donneurs de leçons aux mécréants d’une façon générale. Les intervenants extérieurs divers sont de la même couleur. Journal après journal, le fait le plus marquant est la répétition massive des mots clés (coronavirus, covid, cas, infection, infecté, distanciation, gestes barrières, malades, réanimation, hospitalisation, masques, vaccins, etc.), une répétition 24h/24, 7j/7 depuis 8 mois qui ne peut qu’avoir un effet terrifiant pour ceux qui y sont soumis en permanence. Qu’on ne s’étonne donc plus de voir des gens parfois jeunes portant le masque seuls, à l’air libre, au milieu de nulle part : ils se sont zombifiés.

Côté internet, on vérifie bien l’efficacité de la censure des GAFA : Google, Facebook, Twitter, YouTube … La dissidence arrive toujours à s’y glisser mais les suppressions de comptes et de vidéos se font de plus en plus fréquentes [1]. L’écoute du discours dissident demeure un bon contre-poison contre la propagande. Tant pis pour l’accusation de complotisme !

On demeure sidéré par l’absence de l’opposition dans le débat. Lorsqu’elle s’exprime, ce qui arrive désormais rarement, l’opposition adopte le discours ambiant. Ainsi, la France insoumise a fini par se soumettre (elle réclame la gratuité des masques !) et le Rassemblement n’a plus grand-chose de national car la médiocrité de notre Marine s’avère insondable. Même le trublion Asselineau ne s’entend plus. Requiem in pace. Le manque de courage des chefs d’opposition est devenu patent. Seul Philipot a relevé la tête. Ça fait peu. Comme nous avons besoin de gens courageux nous saurons nous en souvenir le moment venu.

La dictature policière prend forme quand les interdictions puis les obligations se multiplient dans la vie courante. Le confinement de tous rentre déjà dans ce cadre. La bravade de l’interdiction se manifeste par des grosses amendes puis par des peines de prison en cas de multi-récidives. L’absurdité de la peine est apparue lorsque des promeneurs se sont fait harceler par hélicoptère [1] ou par des drones dans des lieux déserts ou les amendes pour des courses jugées non prioritaires après fouille intrusive du sac à provision par des poulets suspicieux [1].

L’obligation inévitable est l’étape suivante. Ainsi, l’obligation de se soumettre au test de contagion ou à la prise de température, celle du port convenable du masque à l’air libre dans le domaine public sont elles des exemples type. On a notamment pu constater l’intervention violente de la police anti-émeute dans un bar parisien pour faire respecter l’obligation en question [1][2]. Des drones ont pu être utilisés ailleurs. Si ce n’est pas signe de dictature, qu’est-ce donc ?

La France n’est cependant pas le pire cas en la matière. On trouvera les exemples les plus terribles dans des pays comme l’Australie [1] ou la Nouvelle Zélande, cette dernière n’ayant pourtant eu que 22 morts covid en tout et pour tout. Le masque peut y être imposé dans la sphère privée. L’incarcération sanitaire peut être exigée. Quelque chose qu’on peut valablement comparer au fascisme peut donc surgir à l’improviste dans des sociétés réputées libérales. Bien sûr, ces formes sont totalement nouvelles sinon on se serait méfié, non ? Ceci doit donner à réfléchir. [1]

Le vaccin et ce qui se cache derrière

On nous a bien fait comprendre que les contraintes qui nous sont imposées dureraient jusqu’à mise à disposition d’un vaccin. Non, pas le vaccin russe, ça ne compte pas ! Il a fallu pour cela délégitimer l’hydroxychloroquine afin de pouvoir dire : « il n’y a pas de traitement ». La ficelle est grosse, mais les propagandistes sont nombreux et résolus. L’ennui, c’est que les coronavirus se prêtent mal au vaccin. Ainsi, le vaccin antigrippal n’est pas efficace à 100 % et il ne couvre guère le patient que pendant 3 mois.  Il faut donc revacciner tous les ans. Bill Gates lui-même nous a prévenu que le vaccin anti-covid ne serait pas plus efficace que celui de la grippe. Il faudra peut-être deux injections. Ensuite, le vaccin comportera une décharge protégeant le fabricant contre toute action en justice en cas d’effet secondaire. Comme la vaccination contre la polyo par le GAVI en Afrique, Billou ? [1] Tout ça pour ça ?

Alors tous les petits soldats du système commencent à se découvrir. Vaccin ou pas, disent-ils, Covid-19 risque d’être toujours là. Lui ou un autre d’ailleurs. Il va falloir vivre avec en conservant ad-vitae-aeternam les dispositions actuelles : distanciations et masques. Ce sera la nouvelle norme sociale imposé par le Nouvel Ordre Mondial.

Mais ce n’est pas tout. Lié au vaccin qui risque d’être obligatoire [notez ce mot qui va devenir de plus en plus courant] [2], se faufile le concept de passeport vaccinatoire [2][3][4] et avec lui toute la quincaillerie  high-tech : nanoparticules RFID couplées à la 5G, identité numérique (ID 2020), applications de traçage [2][3] et tutti quanti. La technologie est prête, les brevets sont passés. Ne manque que le coup de pousse du législateur pour votre bien. Ne comptez pas sur la CNIL pour vous protéger : elle se couchera comme d’habitude. Quand aux divers comités d’éthique parlementaires, on sait ce qu’ils valent : zéro. Les promoteurs du projet ont tout prévu depuis longtemps [1][2][3]. En octobre dernier, EVENT 201 a permis un dernier ajustement. Faut-il que nous soyons crédules pour avoir imaginé que tout ceci resterait de la science-fiction. La dictature sanitaire  ad-vitae-aeternam. Quel progrès ! Au secours, réveillez-moi ! [1][2]

Un mot sur Big Pharma 
 
Les multinationales pharmaceutiques (Big Pharma) ont mis la main sur les systèmes de santé nationaux depuis des décennies. Ce sont d’abord d’immenses pompes à fric au service de leurs actionnaires. Si elles pilotent de nombreux laboratoires de recherche, la qualité de ce qu’elles produisent est plus que médiocre quand il ne s’agit pas franchement de médicaments dangereux : il n’y a pratiquement pas eu de découvertes fondamentales en matière médicale depuis la guerre. Les coûts des médicaments intègrent les montants des amendes des poursuites en justice pour effets secondaires mortels, si élevés qu’ils puissent être. Cela fait partie du « business model »… tant que ces gens ne vont pas en prison. Les progrès sanitaires observés en occident puis ailleurs sont surtout liés aux nouvelles technologies chirurgicales et à ceux de l’hygiène de vie.

La crise de la Covid-19 a bien mis en évidence les conflits d’intérêts entre les hommes politiques et ces multinationales qui ont les moyens de les acheter. Faut-il citer des noms ? Ce lien est tellement fort que la notion de dictature sanitaire prend tout son sens en ce moment. Si Big Pharma achète les politiciens, il achète encore plus facilement les médias [1][2]. Qui peut le plus peut le moins.

Big Pharma marche la main dans la main avec l’agro business [1]. Ce dernier empoisonne les consommateurs avec des additifs cancérigènes, des pesticides et des métaux lourds, pendant que Big Pharma prétend guérir les corps des maladies provoquées par la présence de ces substances dans l’eau, l’air , les sols et la nourriture. A chacun son domaine de nuisance. L’économie capitaliste est vraiment bien faite.

Le capital financier en embuscade

La Covid-19 nous a totalement fait oublier la crise financière. C’était fait pour ça !

Rappelons la situation existant avant la crise : L’État endetté à hauteur de 100 % du PIB par une dette croissante et irremboursable. Des établissements financiers sous-capitalisés en faillite virtuelle, leurs comptes plombés par des créances pourries faisant peser sur leurs clients la menace d’un « bail in » à la cypriote pour les sauver. La « planche à billets » (QE) de la FED, de la BCE tournant à plein régime sans que cela ne règle aucun problème, alors que tout le monde sait que tôt ou tard ce mécanisme conduit immanquablement à l’hyperinflation ; il n’y a eu aucune exception dans l’histoire [1]. Enfin n’oublions pas la bombe à retardement des produits dérivés et des CDS en particulier, invention diabolique de la finance « casino ».

Non seulement toute cette saleté a été glissée sous le tapis, mais la crise l’a fortement aggravée : l’économie mondiale a été matraquée, certains secteurs (aviation civile, tourisme, PME) ont même été touchés à mort. C’était le prix à payer pour les instigateurs de l’opération. L’État n’a rien trouvé de mieux que de s’endetter davantage et naviguer à vue : bonne affaire pour les « investisseurs ». Il y aura bien une nouvelle vague économique, mais grâce à la Covid, le peuple demeurera interdit de manifestations. Le but du jeu est bien sûr de ruiner la classe moyenne, enfin la partie qui possède encore un patrimoine. La Covid donne un nouvel outil aux 0,001 % représentés par le WEF afin de siphonner la richesse planétaire.
Liens [1][2]

Conclusion

Si on considère le caractère global, mondial de la crise, le caractère également mondialiste des entités mises en cause (l’OMS, le FMI, le WEF, les multinationales pharmaceutiques, Fondation Rockefeller, etc.), il n’est pas illogique de replacer les événements actuels dans la dynamique de la lutte des classes au niveau global. Cette lutte met en jeu l’oligarchie financière occidentale dans sa quête d’un pouvoir absolu sur les classes moyennes de ces pays, l’Eurasie (Russie, Chine) étant soumise à sa dynamique propre et les pays émergents des autres continents souvent dépouillés depuis longtemps de leur souveraineté demeurant sans rôle politique majeur. J’insiste qu’il s’agit d’une affaire de pouvoir. Pour ce qui concerne l’argent, l’oligarchie en dispose manifestement de manière quasi illimitée.

J’ai parlé plus haut de trois outils. La révolution arc-en-ciel est un outil anthropologique à forte constance de temps. Il a l’inconvénient de susciter l’émergence de résistances populistes fortes d’autant plus qu’il est de nature intrinsèquement schizophrène. Il accompagne et justifie notamment les migrations forcées [1] et peut se retourner brutalement contre ses planificateurs.
Le terrorisme islamique est usé jusqu’à la corde. Il permet encore de générer un peu de chaos résiduel ici ou là, mais son utilisation est devenue contre-productive d’un point de vue ingénierie sociale.
Reste l’arme monétaire et financière. C’est la bombe A du système. Un déséquilibre mal maîtrisé qui déboucherait sur une hyperinflation radicale pourrait amener le monde sur des chemins imprévus non balisés. Pour l’utiliser sans risque, il faut impérativement opérer sur des sociétés préalablement muselées.

La dictature sanitaire apparaît donc comme un outil moderne de domination. Elle est impulsée du haut par les officines mondialistes, l’OMS étant, en la matière, un relai de choix entre l’oligarchie et les États cibles. Il n’est pas prouvé que le virus soit une création ad-hoc relâchée volontairement pour provoquer la pandémie actuelle. Ce qui est probable, c’est que les promoteurs de la crise se soient bien préparés et aient attendu la bonne opportunité pour appliquer leur programme. H1N1 a été une première tentative manquée. Ensuite, l’opération Covid-19 a connu quelques ratées au démarrage mais l’affaire était ficelée début mars et sans doute avant grâce à la simulation EVENT 201. Il fallait aux promoteurs du projet deux atouts : d’abord le contrôle total des médias pour diffuser et justifier la politique de l’OMS, ensuite de disposer de puissants relais au sein des différents gouvernements.
Le premier point, simple question d’argent, était acquis d’avance. Les MSM, tous entre les mains des États ou de milliardaires sont devenus au cours des dernières décennies des officines dociles [1].
Le second point est plus étrange. Le fait est que la plupart des gouvernements se sont rangés en quelques semaines sous la bannière de l’OMS. On a laissé des groupes d’activistes de l’OMS (les fameux « conseils scientifiques ») prendre le pouvoir un peu partout, ou au moins partout là ou le gouvernement peu regardant sur son souverainisme ne s’opposait pas par principe au programme imposé. La simultanéité planétaire de cette prise de pouvoir fait donc apparaître le coup de l’OMS comme un coup d’État global parfaitement réussi. [1]

Quatre cas emblématiques : la Chine, les USA, la Suède et la France :

La Chine, dictature brutale capitalo-communiste (ce n’est plus un oxymore), n’a pas besoin de la Covid pour tenir son peuple sous une main de fer et elle n’a pas attendu cette épidémie pour peaufiner les outils de contrôle social que le monde lui envie. Elle essaye avec un certain succès de se tenir hors de portée des trois premiers outils (arc-en-ciel, islamique et ouest-financier) dirigés contre elle. L’action menée en mars contre le virus s’apparente plutôt à un exercice civil grandeur nature contre une attaque biologique menée depuis l’extérieur, exercice également couronné de succès.

Les USA sont un bel exemple de cas où le gouvernement élu s’oppose à un État profond imbibé de mondialisme. Trump n’est certainement pas seul dans ce combat sinon il aurait été éliminé depuis longtemps. Du coup, le but principal de l’opération Covid consiste là-bas en la non-réélection du président. Ce qui se passe au niveau mondial est intimement lié au combat politique interne aux USA. Le succès de Trump le 2 novembre pourrait conditionner par exemple l’inculpation de Bill Gates pour son implication dans l’affaire Epstein. Les mois qui viennent vont nous faire découvrir un tas de choses passionnantes.

La Suède est un autre cas emblématique d’État n’ayant pas suivi les directives de l’OMS tout en obtenant des résultats très positifs dans sa lutte contre l’épidémie. Casser les entreprises et les droits civiques n’était donc pas nécessaire. Ce pays n’est pas pour autant un État anti-mondialiste : les préconisations de la révolution arc-en-ciel y ont été portées à un niveau atteint nulle part ailleurs. En attendant, elle a fortement limitée la casse économique. Bon point !

Concernant la France, tout à quasiment été dit : y a-t-il des erreurs qu’ils n’ont pas commises ? (Peronne). La question intéressante qui n’a pas été soulevée dans les pages qui précèdent est la suivante : comment le parti de la dictature sanitaire personnalisé par l’OMS mais piloté par des instances supérieures, comment ce parti – dis-je - qui ne se donne pas de nom mais qu’on pourrait comparer au parti Nazi – désolé pour le point de Godwin - , a-t-il pu trouver autant de partisans dans la société civile et et dans l’État ? Car il faut les entendre tous dans leurs déclarations publiques ceux qui appartiennent à différentes entités administratives, culturelles, sportives, médiatiques, en rajouter couche après couche sans qu’on leur demande rien. Ils pourraient dire : c’est une arnaque, je ne suis pas d’accord, mais on nous l’impose sous peine d’amende donc je le fais. Hélas, il faut encore faire semblant d’accepter l’imposture, la servitude volontaire.

Et dans les rues, il faut voir les malheureux français avec le masque bien ajusté sur le nez même lorsqu’il n’est pas imposé, pour bien montrer leur zèle à « protéger les autres ». Non, pas les autres, ils sont simplement morts de trouille, mais on ne peut par leur en vouloir pour ça. Je suis triste pour ce pays, qui, rappelons-le, n’est pas le pays des droits de l’homme mais celui de leur déclaration, ce qui relativise ses capacités de résistance à l’oppression.



Bientôt un test pour distinguer la covid de la grippe. https://russiepolitics.blogspot.com/2020/09/billet-coronourouce-lescroquerie.html  Ah bon ? jusque là on pouvait confondre ?
Ecofascisme : Pentti Linkola (1932-2020), le maître à penser de Greta Thunberg ? The Later Philosophy of Pentti Linkola (Amazon).