samedi 11 avril 2020

Coronavirus : la grand enfumage


 
J’utilise ici le mot ‘enfumage’, mais je ne sais pas exactement qui nous enfume et pour quel objectif ultime. La seule certitude, c’est que, outre l’état de sidération dans lequel nous avons été plongés [La stratégie du choc] nous n’y voyons plus clair nulle part.
La pandémie est sans doute grave, mais tous les chiffres sont manifestement biaisés par principe, si ce n’est par volonté délibérée de créer un effet de terreur. La mortalité du Covid-19 ne semble pas encore modifier profondément la moyenne des décès ’naturels’ des années précédentes. Loin s’en faut. Cancers, diabètes et maladies cardio-vasculaires l’emportent toujours d’un facteur important. Il est même possible que le confinement abaisse notablement le nombre de victimes des accidents et des homicides [Ref]. Il pourrait d’ailleurs coexister plusieurs souches du Covid-19, certaines plus nocives que d’autres [Ref]. Allez savoir !
 
Il est de bon ton pour certains de taper sur la Chine (Cf. politique éditoriale de ZeroHedge). C’est un régime totalitaire dont les dirigeants n’ont certainement aucune estime pour la vie humaine ; certes, mais ce ne sont pas les seuls ! Pensez-vous que les dirigeants occidentaux soient plus respectueux de la vie humaine que les oligarques brutaux des pays émergents ? Humm !
 
Certains d’entre eux sont d’ailleurs tout à fait prêts à sauter sur l’occasion pour nous imposer un régime ‘à la chinoise’ pour lequel ils ne cachent pas leur admiration. L’opportunité les fait jubiler : ils vont enfin pouvoir nous tracer numériquement [Ref], nous imposer une monnaie numérique sans valeur, une vaccination coûteuse récurrente et une certaine gouvernance centralisée surpassant celle des États. Nous ne sommes plus ici dans la science fiction ni dans la conspiration, des voix autorisées s’expriment maintenant sans pudeur à ce sujet du côté du Forum Économique Mondial (WEF), de la fondation B. & M. Gates, du FMI et de la banque Goldman Sachs. Maintenant qu’ils ont torpillé la religion, poussés par leurs délires transhumanistes, ces gens se prennent pour Dieu [Ref, Ref2]. Nous avons à la fois Kafka, Huxley et Orwell si ce n’est Zamiatine.
 

Le rôle de l’OMS dans la crise est ambiguë. Levier d’entrée du ‘Big Pharma’ sur le monde pour les uns  [Ref], Trump y voit au contraire l’emprise de la Chine via son secrétaire général Tedros Adhanom Ghebreyesus , ancien activiste d’une organisation gauchiste éthiopienne (le Front de Libération du peuple du Trigray) [Ref]. Est-ce réellement contradictoire ?
 
La pandémie n’a sans doute pas été délibérément provoquée – si elle l’a été, nous ne le saurons jamais – mais elle a été largement anticipée à partir d’expériences plus anciennes [Ref]. L’arme bactériologique est officiellement interdite par les conventions internationales, mais on peut supposer que les grandes puissances y travaillent clandestinement ‘en cas où’. Il ne faut pas être naïf ! L’éventualité de son utilisation est parfois évoquée de manière allusive dans certaines déclarations officielles, d’ailleurs, le gouvernement américain l’a déjà utilisée par le passé [Ref].


Le cas du Covid-19 soulève la question du ‘à qui profite le crime ?’ [Ref]. Dans l’immédiat, c'est le ‘Big Pharma’ c’est évident. Les gouvernements incompétents – comme le nôtre et celui de l’UE - peuvent également y trouver un soulagement passager grâce à l’anesthésie de toute opposition, mais ça ne durera pas. La finance internationale qui est en grande difficultés depuis 2008 va y trouver toutes les excuses pour couvrir son impéritie. Comme c’est elle qui a la main sur le politique, elle a l’opportunité de persister dans la recherche de solutions plus boiteuses les unes que les autres pour se sauver la mise, sauf qu’elle fait intégralement partie du problème. Tant qu’elle n’a pas été éradiquée, les choses continueront à se dégrader jusqu’à la crise finale du grand tout (2028). Cette crise est aussi celle du néo-libéralisme, le cacher va devenir difficile.
 
Si les mondialistes estiment que la pandémie est une fabuleuse opportunité pour faire avancer leur agenda totalitaire, la crise est aussi celle du marché mondial sans frontières et beaucoup de solutions vont exiger relocalisation et replis sur les savoir-faire des anciens États nations. Il n’est pas impossible que les dernières pièces mondialistes mises en place (l’UE et l’Euro) passent à la trappe. D’une façon plus générale, la Société Ouverte chère à Soros pourrait bien constituer une victime collatérale du virus. Tant mieux.
 
Un autre point critique est constitué par l’Empire Étasunien. Si la pandémie est assez forte pour lui donner un coup mortel et le faire éclater, alors le monde sera débarrassé d’un Hégémon maléfique et ce sera un bien pour lui. Ne prenons cependant pas nos désirs pour des réalités : il n’est pas du tout certain que le coup serait suffisant pour décapiter les forces mondialistes et néolibérales qui sont délocalisées et prêtes à sacrifier ce pion (Ref. Brandon Smith, Alt-Market). Je ne dis pas ça contre nos amis américains, mais leur État est une nuisance planétaire absolue. L’avenir du monde après le Covid-19 n’est pas encore écrit mais dans tous les cas, il sera rude.


Instrumentalisation de la crise du coronavirus ? https://lesakerfrancophone.fr/pourquoi-peut-on-parler-dune-instrumentalisation-de-la-crise-du-coronavirus   ... je ne suis pas loin d'être d'accord là dessus.

Un rapport explosif : le laboratoire biologique de Wuhan qui travaillait sur les chauves souris capturées dans des cavernes et porteuses d'un virus génétiquement identiques à 95% au Covid-19 avait des financements américains (ZeroHedge d'après le Daily Mail).

Coronavirus  et trombose : l'espoir du Docteur Sandro Gianninihttp://www.geopolintel.fr/article2225.html

La révolution arc-en-ciel en embuscade derrière le coronavirus :  http://echelledejacob.blogspot.com/2020/04/grande-peur-arc-en-ciel-laveu-de-lonu.html  (opinion, Hannibal, Rivarol)

Climat : La chute drastique de l'activité économique mondiale devrait se répercuter de manière très visible  dans la valeur du taux de CO2 ... ben non ! Ref. 

Figures du progressisme : Barbara Jordan (1936-1996), chef du mouvement afro-américain du droit civique. Robin Morgan (1941), théoricienne du féminisme. Valérie Solanas (1936-1988), intellectuelle féministe. Paul P; Preciado (1970), Théoricien de la théorie du genre.

Sur l'authenticité du linceul de Turin : https://youtu.be/x8kXiDm5rLc  troublant, en effet.
 
OEIS : L'Encyclopédie en ligne de suites de nombres entiers ... Étonnant, non ? Par exemple, entrez 1,2,3,5,8,13 -> suite de Fibonacci. Ahh, ça, je le savais. Essayez 1,4,27,256 ... (n^n)

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