dimanche 8 novembre 2020

Finance, covid et "Great Reset"

 ... en 600 mots (environ)

L’opération ‘Covid-19’ est l’étape clé d’un processus historique, planétaire lancé il y a fort longtemps.  Elle se traduit par la mise en place de la première dictature totalitaire mondiale de l’histoire humaine. On peut faire apparaître trois axes de réflexion : la finance, la pandémie et le grand « reset ».

  • La monnaie fut une grande invention. Elle a permis de remplacer le troc dans les échanges humains mais elle a donné lieu rapidement à une grave perversion : le prêt à intérêt. Ainsi, le monopole d’État de la création monétaire est passé entre des mains privées. Quelques grandes étapes : la création de la banque d’Angleterre (1694), de la banque de France (1800), de la Réserve Fédérale (1913), de la BRI (1930), du FMI (1945), la fin des accords de Breton Woods (1973) déconnectant la monnaie de réserve (le dollar) de l’or. Depuis, la situation monétaire mondiale n’a cessé de se dégrader du fait d’une création monétaire débridée submergeant l’économie réelle, créant une dette irremboursable tout en enrichissant de façon éhontée une infime classe de prédateurs.
  • Cette classe a acheté depuis longtemps la plupart des gouvernements, les médias (pour la propagande) et une grosse partie du système productif. Elle a édifié des structures permettant une gestion globale des politiques nationales (ONU, OMS, …). Elle est cependant consciente que son impéritie, cause d’une partie des maux de ce monde, la rend vulnérable face à la colère des milliards d’humains qu’elle suscite, risquant de la priver de ses privilèges. Elle réfléchit donc depuis très longtemps sur la façon d’imposer un pouvoir absolu total sur les populations.
    Comment monter une opération qui puisse s’appliquer simultanément partout en s’appuyant sur les gouvernements nationaux, opération générant un effet de terreur sidérant, paralysant ? Une pandémie habilement instrumentalisée apparaît dès lors comme l’outil idéal car il joue sur la peur de la mort. L’idée ne date pas d’hier : de nombreuses sources démontrent que l’affaire a été longuement mûrie depuis plusieurs décennies.
    Covid-19
    est le bon candidat. Il n’est pas plus mortel qu’une grippe, mais on nous fait croire qu’il est pire que la peste noire de 1346. Nous voila donc affublés d’une laisse longue de un kilomètre et d’une muselière. On nous fait comprendre que les contraintes imposées dureront au moins jusqu’à la sortie d’un vaccin mais sans doute au-delà, et peut être même définitivement. On nous convainc que notre santé mérite que nous abandonnions définitivement nos libertés. L’opération est un succès à 99% pour ses promoteurs. [Très bon article d'Amar sur le site du Saker, repris par France Soir]
  • Quel est le programme ? Il s’appelle « The Great Reset », la grande réinitialisation. Il a été mis au point dans le cadre du WEF (Forum économique mondial) qui réunit annuellement à Davos toute la fine fleur de l’élite mondialiste. Ce programme a été publié ici, mais les ébauches de certaines parties sont connues depuis des dizaines d’années. C’est un vieux fantasme gauchiste. L’idée générale est d’éliminer toute activité économique incompatible avec les intérêts de l’oligarchie, de rendre les citoyens matériellement dépendants de cette dernière, de les contrôler aussi finement que possible, de les tracer en permanence, de les empêcher  de se rassembler, de rapprocher, et de les contraindre à toute mesure énoncée soit-disant pour leur sécurité et leur santé, tout en leur faisant volontairement renoncer à leurs libertés, le tout pour leur bien, naturellement. Covid-19 va permettre de mettre en place tout ça.
    La suppression de l’État national souverain, de la famille, de la monnaie ‘papier’, de la propriété privée et des religions traditionnelles font partie de ce tout. Point plus discret : il faudrait fortement réduire la population mondiale pour sauver la planète. [Très bon article de Zero Hedge traduit ici]


En illustration de ce qui précède : le règlement sanitaire international de l'OMS (2005, 2ème édition, 102pp) auquel nous sommes soumis ici

Élections américaines.  La fraude se confirme-t-elle ? The Election is Not Over and The Media Knows It (Zero Hedge). Ou bien, sur le web journal de Radio Quebec (Alexis Cossette) : Hold the line ... le piège se confirme.

 

 

 

 

 

 

 

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