Nanoréseau intégré au corps humain

S'il semblait finalement évident qu'une nanopuce injectée dans le corps ne pouvait guère générer à elle seule un signal détectable, des systèmes beaucoup plus complexes semblent en être parfaitement capables.

Voyez cet article sur le site de Liliane Held-Kawan. Pour quiconque n'est pas spécialiste en matière de nanotechnologie, ça n'a pas grand sens. La première figure montre que divers éléments injectés [par le vaccin ?] contribuent à former un système de monitoring du corps humain dont les données sont assemblées et canalisées vers un nanorouteur et un système de nano-antennes générant un signal reçu en proximité par un smartphone. Le smartphone est un élément important comme intermédiaire avec un cloud internet regroupant toutes les données individuelles ou le réseau 5G pour la localisation précise. Le monitoring obligatoire exigera l'usage d'un smartphone ou à défaut d'un gadget de fonction équivalente attaché au corps (bracelet par exemple), afin de relayer un signal intro-corporel faible vers internet.

Concernant les divers éléments de ce système de nanoréseau, on trouve facilement sur internet toutes les information nécessaires :

• nanotubes de carbone  CNT, MWCNT, SWCNT

• Les points quantiques de graphène GQD

• Les nageurs d'hydrogel (hydrogel swimmers)

• Les nanoantennes fractales en graphène

• Nanorouters et nanocontroleurs

• Les CODEC ou nanointerfaces

(les liens pointent souvent vers des travaux originaux ... qui donnent un aperçu de la complexité du sujet).

Ensuite, la partie capteurs ...

Nous avons ici une boîte à outils complète qui permet de réaliser un module entier d'instrumentation (mesure de diverses grandeurs physiques, convertisseurs analogiques-numériques, multiplexage et mise en forme, routage, transmission analogique ... ). C'est très impressionnant. Les fabricants de vaccins ne reconnaissent pas que ces éléments figurent dans leurs flacons... (les gens seraient effrayés) pourtant, il ne doit pas être difficile de vérifier leur présence avec un microscope optique de bonne qualité. On comprend que l'injection n'est un problème de santé. C'est un problème de contrôle. D'où la nécessité d'injecter tout le monde.

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