Un article du site mouveau-monde.ca signé Joseph Stroberg et intitulé Projet Bluetooth Expérience X va un peu plus loin que ce qui a été écrit jusqu'ici.
L'expérimentateur utilise une sonde bluetooth sous linux (une partie importante de l'article explique comment l'installer) avec un logiciel classique d'analyse de trames que les ingénieurs réseau connaissent bien : wireshark.L'expérience est menée dans des lieux relativement isolés avec trois sorte de personnes : des non-vaccinés non testés PCR, des non-vaccinés testés PCR et des vaccinés. Les signaux analogiques détectés sont analysés. Les objets connectés (mobiles, montres, bracelets) étant éteints, des signaux numériques faibles sont bien captés sur la bande bluetooth. Whireshark n'est pas capable d'en donner l'origine.
Mon idée, à l'instant. Le corps humain rayonne en permanence des ondes électromagnétiques plus ou moins aléatoires. Certaines séquences sont reconnues comme des trames numériques portant une série de chiffres hexadécimaux donc de MAC adresses. La discrimination entre vaccinés, testés et non vaccinés n'est pas statistiquement significative sur le petit nombre d'individus mis en jeu dans l'expérience. S'il me semble impossible qu'une nanopuce émette un signal détectable à distance pour de simples raisons énergétiques, on peut comprendre qu'une onde émise par une zone corporelle plus étendue puisse être captée. Qu'elle porte une information cohérente est une autre affaire.
De la même façon, il existe un magnétisme naturel du corps, très faible, pouvant être mis en évidence par l'attraction de petits objets comme des pièces rouges de centimes, indépendamment du statut vacciné ou pas. Il est possible que ce phénomène soit plus important dans les zones d'injection et pour un petit nombre de gens.
Voyez aussi : https://msclx.blogspot.com/2021/12/vaccin-et-identifiant-bluetooth.html
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